
Récits
Di 21 fév. 2021
Walighürli 2050m
Une belle course organisée par Greg Fragnière.
Grace à la bonne volonté de pas moins de 3 chefs de course suppléants (Nicole,Christian et Hartmuth) nous pouvions être nombreux à participer (16 en total) malgré les restrictions sanitaires.
Pour moi c’était ma première course en Suisse Alémanique.
C’était sympa de retrouver quelques personnes avec lesquelles j’avais fait le cours d’initiation en début de saison le 19 décembre (Nicole avait déjà eu la gentillesse d’agir comme chef de course suppléante à ce moment-là) et d’autres avec lesquelles j’avais participé à des courses depuis lors.
Ce fut aussi sympa de découvrir que certains participants (y compris le chef de course) vivent au même village que moi!
Et c’était la première fois que j’ai pu admirer une Splitboard avec mes propres yeux (snowboard qui peut être coupée en deux pour être transformée skis de rando et réassemblée en snowboard pour la descente).
Le Comité de la Section était bien représenté à travers de la Préposée de la commission des courses, le responsable du Bulletin et notre Webmaster.
J’ai souffert pour arriver au sommet (la course était un peu plus longue que les autres courses que j’avais fait) mais comme la semaine d’avant (Pointe de Bellevue) une vue magnifique pour récompenser nos efforts.
Autre récompense au sommet : deux bons blancs que Greg avait amené (un Mont sur Rolle et un Johannisberg).
En montant, j’avais commis l’erreur de demander à Gilles à quoi servait la pioche qu’il portait. Il m’a va vite corrigé en expliquant que ce n’était pas une pioche mais un piolet. J’ai découvert qu’une des utilités du piolet est de pouvoir enterrer le bouteilles de vin pour les mettre au frais.
Apres une pause d’une heure qui nous a permis de prendre notre premier bain de soleil de l’année, une douce descente hors-piste pour retourner au parking à Feutersoey.
Merci aux chefs de course (Hartmuth avait la forme !) et aux autres participants pour encore une belle journée de rando.
pour le récit de course Machiel








Sa 6 fév. 2021
Abruzzes
Récit de course
Semaine ski de rando à Bivio-Grisons, du 7 au 13 février 2021
Tous les chemins mènent à Rome.
Mais Dieu qu’il est long le chemin pour les Grisons…
1- Les préliminaires
Il faut commencer par aller au Kirghistan (projet initial annulé pour cause CoViD-19), puis passer par les Abruzzes (projet de remplacement annulé en raison de l’insistance de dit CoViD) pour enfin s’engager dans la vallée de Surses-Oberalpstein et s’arrêter au pied du Julier dans le joli village de Bivio, plus précisément à l’hôtel Post. Il y en a un dans chaque village par ici des « hôtel Post », mais celui-là est incontournable. Une patronne aux petits soins qui se plie en quatre pour satisfaire nos moindres désirs. Jusqu’au fumoir de cigare estampillé OFSP avec coin cheminée… c’est vous dire. Idem pour le personnel, non seulement professionnel, mais prévenant,facétieux même (n’est-ce pas Emilio ?).
Néanmoins, avant d’arriver au paradis, il a fallu discuter (alors là, on est tous imprenables) : confinés par 4 ? sans les plaisirs des agapes ? sans la dynamique de groupe ? …etc… « Mais oui ! » s’écrie Suzy pour regonfler les troupes. Alors il a fallu organiser. Et pour ça, Wolf, il est trop fort. Il nous concocte donc un de ces programmes « CoViDcompatibles » incroyable sur lequel je me suis laissé dire que le Conseil Fédéral envisageait de prendre modèle.
Nous sommes 16 alors que les règles de l’OFSP autorisent 4 ? Parfait puisque = 4.
Nous formerons donc des groupes indissociables de 4, entre chambres, voiture, tablées et cordées.
- Voiture 1 : Carmen – Volker – Manu - Wolf,
- Table 2 : Chantal – Philippe – Marco – Bertrand,
- Cordée 3 : Michel – Cécile – Sophie – Serge,
- Hammam 4 : Frédo – Suzy – Véro - Arnaud
On ajoute à cela un chef de course par cordée (donc par tablée, par voiture, etc…) + le guide grison Georg, et elle est belle !
Avec en prime le truc incroyable imaginé par Suzy et Wolf : le test à la mode pour tout le monde avant de partir !!! « Bonjour, le résultat de votre test CoViD-19 est négatif. Si vous avez des symptômes… ».
Pour notre plus grand bonheur, personne ne réussit cet examen et, malgré l’ambiance positive, personne ne l’est. Seul l’ami CoViD-19 pouvait engendrer un tel paradoxe et nous voicidonc partis à 4x4 en 4x4 (au vu des conditions de neige commandées cette semaine-là). La route se fait dans une atmosphère irréaliste de brume ocrée par les vents du Sahara qui soufflent vers l’Europe depuis la veille et poudrent tout sur leur passage.
2- Les faits
Dimanche 7 : Vent, chutes de neige mouillée, mais l’enthousiasme est au rendez-vous et, après de tels préliminaires, rien ne pourrait plus nous stopper… Nous partons donc (pour ceux qui n’auraient pas suivi en groupes de 4) pour Rocabella, 2730 m. Seules les conditions, la visibilité et surtout le risque d’avalanches auront raison de nous vers 2500m. Qu’à cela ne tienne, cela nous a mis en jambe et ils annoncent un peu meilleur demain…
Lundi 8 : Temps mitigé annoncé donc, mais rien ne freine nos ardeurs et nous démarrons par groupes de 4 pour le Piz Scalotta, 2991 m. La météo étant très peu sûre, rapidement, un ciel immaculé vient nous montrer ce superbe Piz recouvert de 30 cm de poudreuse dans lesquels nos traceurs (merci à eux) font merveille. Et, seuls au monde (par groupes de 4 naturellement), nous entamons les 1'300 m de descente dans cette poudreuse aussi légère en bas qu’en hautjusqu’à Stalvedret. Remontée vers Bivio le long de la piste de ski de fond et nous nous retrouvons à 4 tablées de 4 au Stübli avec les saucissons, viandes séchées et autres fromages, le tout arrosé de notre bon vieux Chasselas, pour un en-casréparateur, les yeux encore brillants d’une de ces journées que l’on ne vit qu’une fois de temps en temps…
Mardi 9 : Beau temps annoncé. Georg est sous pression. Il a mis la barre si haut hier que l’élever encore est compliqué ! Utilisation des remontées de Bivio jusqu’à 2560m ; le luxe. Redescente de 400m en poudre magique. Gare aux rochers cachés sous cette couche vierge, aguicheuse et perfide. Votre serviteur en fait les frais avec une magnifique cabriole et une balafre d’anthologie dans ses skis neufs. Il faut bien dire qu’il avait eu l’exemple de deux maitres en la matière la veille. Ils se reconnaitront…
On rechausse les peaux à l’Alp Tgavretga et on attaque les 10km jusqu’au Piz Turba, 3017 m. Magnifique ambiance hivernale de corniches striées de rouille du désert, cayons, pentes immaculées... Quelques passages exposés nous obligent à étaler chaque groupe de 4 sur 60 m mais, au fond, cela tient bien. Jolie crête sommitale à pied avec 500 m de gaz de chaque côté. Ambiance ! Et un coup de chapeau tout particulier à Serge…
Georg a d’ores et déjà réussi son coup : le sommet nous a enthousiasmé. Vue époustouflante avec en point d’orgue le massif de la Bernina. En voilà une autre qui aguiche. N’est-ce pas Frédo ?
Fabuleuse descente même si évidemment elle a quelques difficultés à rivaliser avec celle de la veille.
Mercredi 10 : Temps exécrable annoncé. Mais là on seradéçu: il reste bien exécrable. Beaucoup ont déjà prévu une journée de repos, mais l’émulation au sein de chaque groupe (de 4 pour le lecteur qui n’aurait pas bien suivi) fait merveille et Georg nous entraine sur une petite course dans la neige et le brouillard jusqu’au Bleis Muntaneala, 2452m. Si la montée nous a laissé imaginer une redescente compliquée, elle s’avère en définitive très sympathique et skiable. Il faut dire que le sable saharien atténue le jour blanc une fois la première trace faite.
Re-pique-nique, re-spa, re-cigare accompagné d’une f… non, je ne le dirai pas et re-pas du soir à 4 tables de 4. Ce qui n’empêche pas les apostrophes entre tablées.
Jeudi 11 : Pour la première fois, nous ne partons pas skis aux pieds, mais poussons en voiture juste après le Julier pass. Direction sud pour le Piz Lagrev, 3165 m. 13° en dessous de zéro, vent fort, la 1ère montée est glaciale. Le vent tombe enfin dans la 1ère cuvette, mais le mercure est encore descendu et nos extrémités souffrent… La 2ème pente, expo celle-là, est avalée par Georg, mais le temps que les 4x4 passent avec une bonne marge de sécurité entre chacun, il y a de quoi se refroidir (j’entends bien sécurité avalanche et non sécurité CoViD-19 mais, question « distances sociales », les deux font bon ménage tout compte fait). Suit une immense cuvette dans laquelle le soleil vient nous lécher et nous requinquer, puis à nouveau une belle face qui sort à près de 40° (ça c’est la pente parce que la température ne suit pas) et nous permet d’atteindre le sommet à nouveau transis mais heureux. Et la descente nous réchauffe le corps et le cœur. Pensez, 900 m de poudre vierge… N’est-ce pas Manu ? Bon, après cette 1ère trace de montée, tu as bien mérité la pole position à la descente !
Vendredi 12 : Dernier round. Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Il est prévu de repartir du Julier avec en ligne de mire le Piz Surgonda, 3195m. Après l’expérience de la veille, la conversation du petit déjeuner tourne autour de l’habillement. Sous-gants, gants, sur-gants, chaussettes fines, moins fines, trop épaisses pour la chaussure… chacun fait les fonds de tiroirs pour dénicher le trésor qui le protégera le mieux. L’arrivée au col ne fait que nous confirmer la température ; et le vent. Mais en fait, la pente est exposée sud et le soleil est notre compagnon. A tel point que nous nous retrouverons même en sous-pull quelques dizaines de minutes. Le sommet, rejoint à pied, nous imposera tout de même les gants chauds. Vue à couper le souffle sur les massifs à perte de vue, agrémentée de couleurs superbes imaginées par le temps qui se couvre, photo de campagne PLR de Volker, et nous redescendons dans une poudreuse un peu moins légère, vaguement croutée parfois, mais bien tournante tout de même. Il est temps que nous rentrions, nous devenons difficiles. De vrais enfants gâtés…
Dernière soirée rouge-saucisson-cigare, adieux et remerciements à Georg qui a su nous enchanter et surtout nous gérer (le groupe comportait une densité étonnante de fortes têtes), hourrahs et p’tite chansonnette à notre organisateur préféré :
J’entends le Wolf, le renard et la buvette,
j’entends le Wolf et le fêtard chanter
Le Martz viendra les gars, le Martz viendra,
c’est à ce moment-là qu’il faut lever les bras.
…
3- Le retour
Samedi 13 : La plupart des cordées, voitures, spas, tablées et chambrées ont décidé de repartir directement à la maison.Tenter de recoller à la réalité si possible... Il est vrai que le temps bouché n’incite pas aux prolongations. Et pourtant, on pourrait suspecter un léger ton bleuté en scrutant bien le ciel. Alors, le gang n°4 décide de fuir la réalité et de tenter sa chance pour une dernière. En ligne de mire le Piz da las Coluonnas qui surplombe au sud le Julier pass. Bien nous en prend puisque nous sortons du coton assez rapidement et parcourons les 600 m de dénivelé sous un beau soleil, sans vent, y compris au sommet ou nous nous prenons à regretter de ne pas avoir monté des chaises longues. Cela nous laisse admirer, longuement cette fois, ce splendide panorama des alpes grisonnes et bien au-delà puisque nous apercevons la pointe Dufour à l’horizon. Après 1 semaine de conditions folles, il faut commencer à chercher les recoins pour poser une trace à la descente, mais elle nous enchante une fois de plus.
Pour beaucoup une découverte des immensités grisonnes. Un terrain de jeu infini et des idées qui germent pour la suite. Mais on en a tellement des idées…
Merci à tout le groupe pour ces grands moments, à Georg pour sa finesse et à Wolf d’avoir su tirer parti et transformer en atouts les inconvénients liés à notre grand absent de la semaine : CoViD-19 !
Arnaud – Veytaux – 14 février 2021
Récit de course
Semaine s ...
Sa 30 jan. 2021
La Fava 2581m
La Fava, le 30 janvier, se transformant en thé rhum et sablés au Molard.
L’intention y était : la course repérée 2 semaines avant, des participants motivés.
Mais à degré d’avalanches 4-5, nos espoirs de faire le sommet ont été réduits à néant . Et en plus, une semaine de pluies intenses, y compris le samedi, notre « nouvelle » cheffe de course , Camille, a dû inventer .
Elle s’en très bien sortie :
Course différée au dimanche, car un créneau sans pluie se dessinait, et c’est dans ce coin méconnu et sauvage de la région du Molard qu’elle nous emmena randonner. Elle nous avait bien préparé sa course : rendez-vous à la Cergnaulaz au soleil ( !) et c’est par la crête qu’elle fit sa trace. Personne de la semaine ne s‘y était aventuré. Arrêt ä l’abri des bûcherons, à 10 mn du sommet où elle nous avait préparé, pour la pause, thé-rhum et sablés.
Après être ragaillardis par les biscuits ( et le rhum….) dépautage au sommet . Elle nous fit faire la descente sur les Pontets, via Chessy et col de Soladier. Pour une semaine de pluie, descentes tout à fait convenables, voir bonnes dans 7-8 cm de neige fraiche un peu lourde, il est vrai. Remontée à la Planiaz, histoire de faire le pic nic. La Planiaz occupée par des dames du club, nous ont gentiment offert le café après le repas.
Fin de la descente sur les voitures, et des participants contents d’avoir pris un bol d’air entre deux averses.
Christian Keller







Sa 9 jan. 2021
Rodomonts 1878 m
9h30, point de rendez-vous à Château-d’Oex. Sur proposition d’Aline, notre cheffe de course, nous nous regroupons de 4 à 2 véhicules pour entrer dans la vallée étroite des Fenils. Nos masques nous protègent d’une fin de nuit glaciale. Fond de vallée, nous parquons sereinement nos 4x4 dans un amas de neige en bordure de route.
-12° sur les berges du ruisseau Grischbach. Emmitouflés, nous formons rapidement deux groupes de cinq participants et lançons l’ascension vers l’objectif du jour Les Rodomonts (Alt. 1878). Notre groupe se compose de sept charmantes clubistes - Aline, Catherine, Cécile, Rachèle, Vero, Sara, Josée et de trois « mousquetaires » des cimes – Arnaud, Renato et Wolf.
Retrouvailles, première sortie de la saison pour certains, nous nous élevons rapidement au-dessus de la vallée et allégeons la tenue sous la caresse d’un soleil à peine voilé. Dans une pente soutenue, nous avalons le dénivelé. La couche neigeuse s’épaissie, les cristaux de neige scintillent et se laissent brasser sans résistance. Nous salivons déjà à l’idée d’une descente, à enchaîner des courbes parfaites et repérons dans la pente des espaces de neige immaculés.
Après une brève pause thé, le groupe Wolf prend la tête, passe le dernier chalet d’alpage et entame la dernière pente vers le sommet. La bise nous accueille. L’humeur est joyeuse, nos natels immortalisent cet accomplissement dans un panorama grandiose. Aline et Wolf nomment les sommets à l’horizon – les Vanils fribourgeois, les Gastlosen, le massif des Diablerets entre autres.
La descente dépasse notre attente. Chacun prend son pied dans son style. S’arrête parfois, hédoniste, pour admirer sa trace !
Alt. 1559m, nous nous adossons au chalet d’alpage pour un picnic. A peine les sacs déposés émerge l’idée de refaire le sommet et une deuxième descente gratifiante. Aline, Véro, Josée, Arnaud et Renato s’élancent, paquetage léger – le premier en haut ! A ce jeu, Aline, souriante, ne trouve son égal.
Retour au parking. Invincibles sur catalogue, nos 4x4 sont pris au piège. Impossible de sortir de l’ornière. Les pelles entrent en action. Wolf, avec une expérience inégalée du Sahara, ne doute à aucun instant. Après 30 minutes d’effort coordonné nous quittons le site. Nos remerciements à Aline et nos joyeux participants pour cette super journée.
Renato








Di 20 déc. 2020
touring track, les Diablerets
Sortie du du 20 décembre Touring track, sortie “mise en route de la saison….”
Parcours rouge, Diablerets - les Mazots, 600m+
Un rendez-vous à 9h00 à Villeneuve et c’est le départ pour les Diablerets. Cette sortie à skis se fera avec : Lorie, Anne-Marie , Nicole, Camille ( Cheffe de de course adjointe…), Claude et l’initiateur de la sortie, Keller. Deux déssistements de dernière minute : Regula et Catherine .
Une nouvelle fois, de la chance : tout présageait d’un portage dans la forêt pour manque de neige, de la pluie et de la glace pour la descente.
En fait, il n’en n’a rien été… de la neige en suffisance, même dans la montée de la forêt, pas de regel (grâce) ou à cause du foehn, une neige de printemps pour la descente. En fait, des conditions parfaites pour les deux débutants du jour : Lorie et Ron.
Le parcours balisé débute au fond de la vallée, après le départ de Meilleret, à « le Jorat » 1220m. Camille nous mène sur le sentier d’été, par Tréchadèze, traverse la route du col de la Croix et monte dans les prés jusqu’aux Mazots, arrivée du jour. Le peu de neige pour monter à la Tête du Meilleret ne nous enthousiasme pas vraiment… surtout pour la descente.
Pic-nic au chalet de l’école de ski, puis café au bistrot des remontées.
La descente se fait dans une bonne neige printemps, jusqu’ en bas.
Une prochaine fois, le parcours noir, de 1300m+, passant par l’Arpille, descente sur le col de la Croix et remontée à la tête du Meilleret nous interpelle.
Pas de casse, pas de blessés. Juste quelques cloques pour Lorie. A la prochaine fois, et merci de votre bonne humeur.




Ve 23 oct. 2020
Mise en ordre automnale de la Planiaz
Mise en ordre automnale de la Planiaz 2020 : le bal masqué !
Jamais notre « appel à l’aide » pour ces nettoyages n’a rapporté autant de succès, même auprès des nouveaux membres ! Ce n’est pas sans gêne que nous, organisateurs de la journée, avons dû « refuser » du monde ! Merci à tous ceux qui se sont annoncés présents pour cette « valse de poutze » annuelle au chalet. SVP à ceux/celles qui n’ont pas pu venir, permettez-nous quand-même de vous solliciter l’année prochaine ??
Météo plutôt défavorable… pluie toute la journée, heureusement sans neige… Journée grise et mouillée… qui commence avec le « baptême » du chalet ! En préparant quelques bouteilles de rouge pour le repas de midi, deux autres bouteilles roulent par terre dans la cave… Un grand « m… » sort de ma bouche… Dommage pour le vin, mais certes, ces briques de verre nous ont porté chance. La suite de la journée se passe d’une manière impeccable avec le sourire et dans la bonne humeur … En plus, en respectant au max les consignes d’hygiène liées à la pandémie !
C’est un vrai « bal masqué » dedans et dehors… 13 personnes se donnent à cœur afin de remettre notre chalet au propre. Une fois de plus la Planiaz est nettoyée jusqu’au moindre recoin…. Quelques réparations par-ci et par-là… (Pierre-Alain profite des compétences de Serge, ancien menuisier !) … Même le carnotzet, quasiment en abandon ces dernières années, est pris d’assaut et retrouve à quelques détails près son ancienne apparence…
Comme d’habitude Rita, assistée par son amie Paireen, nous gâte avec un excellent repas (polenta, ragoût de bœuf, petit pois/carottes, salades et une « tarte aux pommes à la Rita » pour le dessert). Nous le savourons assis autour des grandes tables avec des chaises espacées comme dans un grand restaurant étoilé !
Vers 17h les travaux arrivent à leur fin à la satisfaction générale. C’est le moment de la séance photo !
Avec un grand MERCI aux participants pour votre aide exemplaire, efficace et enthousiaste :
1. Mona Giobellia
2. Yvan Cossec
3. Corinne Blondet-Oppliger
4. Karen Armstrong
5. Rita Vuichard et son amie Paireen Bussien (nettoyage de la cuisine + repas)
6. Serge Goetzinger et sa fille Anne
7. Christian Bérard
Membres de la commission du chalet :
1. Jasmine Chapuis (co-organisatrice des nettoyages)
2. Michel Vuichoud
3. Pierre-Alain Besson (intendant)
4. Zeno Manoni (monté avant) pour nous couper du bois
5. Agnes Wauters (organisatrice des nettoyages)
Agnes Wauters



Ma 6 oct. 2020
Lac de Ténéhé
Randonnée des Mardistes du 8 octobre au Pont-de-Nant
(440m déniv., 10km)
Daniel Henchoz étant blessé, c’est Karen Armstrong qui a pris la relève avec modification du lieu de randonnée.
Et puis, la pluie a également modifié la date de départ, en effet cette course devait avoir lieu mardi 6 octobre et Karen, Cheffe de course remplaçante, a eu la très bonne idée de la déplacer au jeudi 8 octobre pour celles qui pouvaient se libérer, le soleil et le ciel bleu nous ont accompagnées toute la journée, un vrai bonheur.
Aussi ce n’est qu’un petit groupe de 5 mardistes, Karen, Gisela, Beate, Evelyne et Christiane qui se sont retrouvées à 10 h au parking de Liedl.
Nous parquons les voitures aux Plans-sur-Bex et, chaussées, nous voilà déjà parties. Très vite empruntons un joli sentier dans la forêt, mouillé par la pluie abondante des jours précédents, qui a laissé le terrain glissant, le long de la Rivière l’Avançon.
Nous nous arrêtons pour admirer de magnifiques prises de vue (une quinzaine) grand format du Zanskar (région du Ladakh), sur bâche de 2x3m. Les couleurs sont splendides montrant des paysages arides aux sommets souvent enneigés, les champs verdoyants sont quasi inexistants ou loin dans la vallée, d’ailleurs les enfants sont rarement tête nue car le froid, le soleil, la neige, la poussière voire le vent rendent le couvre-chef indispensable, entourant les traits angéliques des jeunes enfants. Nombreuses sont les photos d’enfants se rendant à l’école et, on s’imagine bien que souvent ils ne peuvent même pas rentrer chez eux le soir ! L’hiver, il n’y a pas du tout d’école….
On voit également des moines bouddhistes avec leurs robes ocre-orangé donnant un relief extraordinaire aux paysages. Superbe parcours-expo !
Arrivées au Pont-de-Nant nous décidons de poursuivre notre montée jusqu’au lieu dit Le Richard où la buvette est (déjà) fermée (???)
Nous nous désaltérons sur un rocher au soleil. L’environnement est très beau, les arbres commencent à revêtir leurs feuilles dorées dans ce vallon isolé dominé par l’imposant massif du Muveran déjà blanchi par les premiers flocons de neige.
De retour au Pont-de-Nant, une bonne soupe à la courge nous attend, gentiment commandée par Karen. Nous nous restaurons à la buvette, au soleil, moment très agréable de partage et reprenons le sentier des photos afin de les voir une seconde fois sous un autre angle et une autre lumière.
Merci Karen de nous avoir fait découvrir « Itinérance » cette expo en pleine nature d’une haute vallée himalayenne et qui est une façon très subtile de ne pas concentrer les visiteurs en cette période perturbée, et une façon différente de randonner.
Christiane



Ma 29 sept. 2020
Lac Noir – Patraflon
« Lutry – Vevey »
(Le Lavaux, tout en long)
29 septembre 2020
Patatras ! Pour cause d'enneigement précoce, il faut renoncer au Patraflon, au programme de ce mardi. Geneviève a proposé de ne pas annuler notre sortie hebdomadaire, mais de la remplacer par une randonnée à travers le Lavaux, de Lutry à Vevey. C'est ainsi que nous nous retrouvons à sept, Geneviève, Karen, Gisela, Agnès, Cathy, Harmut et votre serviteur vers 10 h en gare de Lutry.
Le ciel est encore couvert, les brouillards trainent le long de la côte française du lac mais nous serons préservé de la pluie. Gisela prend la tête de la troupe… et nous voici bien vite cheminant le long de modestes murs de vignes. Quelques gentils vendangeurs nous ramènent de la voix vers le bon chemin et nous progressons rapidement le long des vignes. Nous choisissons une variante "haute". Elle va nous offrir quelques magnifiques coups d'oeil sur le lac et les vignes. Par quelques sérieux "raidillons", nous gagnons la hauteur de la ligne de Berne, que nous suivons plus ou moins jusqu'à la gare de Grandvaux. Il est déjà 11h30, le temps d'un bon café à l'Auberge de la Gare.
Le temps s'améliore, le soleil pointe à travers un ciel laiteux et la vue sur le vignoble, le lac et le Chablais est superbe. Pour garder de la hauteur, nous devons encore grimper quelque peu, jusqu'à la hauteur de l'autoroute bien bruyante, mais peu après, en Esserziaux, nous trouvons un emplacement des plus agréable, avec table et bancs pour une pause pique-nique bien méritée.
Poursuivant au sommet des vignes, nous débouchons sur la croupe qui ferme au sud la petite plaine industrielle de Puidoux. Nous y admirons les œuvres, en devenir, d'un grand promoteur valaisan (!). Mais le coup d'œil sur Chexbres et le vignoble de St-Saphorin nous réconforte.
Le but est visible, nous cheminons à mi-pente. Partout les vendangeures et vendangeuses sont en pleine activité. Nous sommes même invités à gouter au raisin bien mûr. Arrivés dans les hauts de Corseaux, Agnès – qui y habite – nous fait encore découvrir, dans les dernières vignes avant la ville, un joli point de vue avec un panneau panoramique exceptionnel, en relief (chaque plan est découpé dans des plaques de cuivre peintes). Par quelques ruelles et escaliers, elle nous conduit encore jusqu'au terminus des VMCV. Les adieux sont expéditifs, certains montent dans le bus, d'autres poursuivent à pied jusqu'au centre-ville.
Merci aux Mardistes, Karen Armstrong, Cathy Berthoud, Gisela Hauschild, Geneviève Osinga, Harmut Seifert et Agnès Wauters, d'avoir participé à cette découverte sur proposition de Geneviève et conduite de façon commune par Geneviève, Gisela et Laurent.


Ma 15 sept. 2020
Marchairuz - Mont Tendre en boucle
Randonnée des Mardistes du 15 septembre au Mont Tendre
Les 9 inscrits, Anne-Claude, Cathy, Agnès, Yvonne, Karen, Gisela, Beatrice, Monica et moi-même sommes à notre rendez-vous des Chevalleyres après un petit retour en arrière… les intéressées comprendront ce petit clin d’œil !
Nous retrouverons Olivier et Anne-Marie Martin venus individuellement directement au parking en contre-bas du Col du Marchairuz.
Chaussés, nous voilà partis, il est 9h45. Nous marchons tout d’abord sur un chemin de campagne magnifique. Le bétail pais dans les pâturages, nous contournerons d’ailleurs plusieurs troupeaux de vaches dont quelques unes sont restées impassibles à notre passage.
Le soleil est chaud même dans cette région réputée pour son climat de loup avec ses coups de bise en rafales bien fraîche ! Très vite faisons une pause boissons.
Continuons notre bonhomme de chemin à travers les prairies, les sapins, quelques fermes, le paysage est tranquille, beau et les participants babillent sur des sentiers larges. L’atmosphère du groupe est identique aux paysages, calme et sereine.
Quittons les pâturages boisés entourés de murets de pierres sèches qui forment un décor particulièrement attrayant, pour monter, quand même, au sommet du Mont Tendre qui culmine à 1679m. Il est d’ailleurs le plus haut sommet du Jura suisse. Sur ses flancs, on trouve des lapiaz et de nombreuses dolines dans le calcaire karstique et caractéristique du Jura.
Il est tout juste l’heure du pique-nique lorsque nous arrivons au sommet, d’où l’on devrait avoir une vue grandiose sur les lacs Léman, de Joux et de Neuchâtel, les 2 derniers sont dans la brume, dommage, mais on peut admirer une vue panoramique sur le lac Léman.
Nous sommes exactement au milieu des trois cols : La Givrine, Le Marchairuz, et Le Mollendruz.
Le retour, fait de montées et descentes, environ 2,5 heures de marche est assez long, donc sommes très heureux d’arriver au Col du Marchairuz.
Très belle journée où, d’après les reflets, tout le monde était heureux de cette randonnée, au milieu de paysages typiques dans une nature préservée.
Au total plus 17 km parcourus, 5 h de marche effective ! SUPER
Christiane


Sa 5 sept. 2020
Mt de l'Arpille 1'900m, VTT
Que faire une belle journée d’arrière automne?
Il fait encore chaud, mais c’est beaucoup plus supportable qu’un mois auparavant?
Alors une course au soleil? Donc le Valais? Une bien au soleil en plus? Et si nous choisissions la montée en VTT à l’alpage de l’Arpille, au départ de Martigny (500m), et en espérant arriver à 1’816m 2h30 après un départ à 09h00 du parking de Martigny-Croix? à 5 VTT-istes convaincus?
Oui, mais qui? Manu, pour mener à la montée et à la descente? Fredo, la force tranquille qui pousse pour les descentes impossibles? Volker l’étoile montante (à la descente, c’est pas encore ça...)? Ouille!! Mais oui, votre courageux – que dis-je téméraire – chef de course désigné-volontaire s’y est risqué…
Résultat? Horaire respecté (Volker premier au bistrot), et une nouvelle descente avec un finish de Planjoan sur La Fontaine, que Manu et Fredo ont trouvé extra. C’est vous dire qu’elle a surtout nécessité une attention de chaque instant pous ne pas dévaller le ravin. Mais puisqu’apparemment c’est extra…
Eh bien elle sera à nouveau au programme l’année prochaine. Au plaisir!
Wolf
Que faire une belle journée d’arri ...
Ma 1 sept. 2020
Neuchâtel – La Neuveville
Il est juste 9 h lorsque le chef de course nous accueille dans le hall de la gare de Neuchâtel. Les six participantes, Agnès, Anne-Marie, Jasmine, Karen, Mona et Yvonne ont fait le voyage en train depuis la Riviera vaudoise alors que Laurent nous rejoint depuis Berne. Le soleil joue un peu à cache-cache avec quelques nuages mais cela ne nous empêche pas de prendre un petit café pour se mettre en jambes. Il est près de 9 h 30 lorsque nous dévalons la côte pour rejoindre les rives du lac. La tentation est grande de vouloir être continuellement au bord de l'eau, mais des installations portuaires et quelques maisons de maître obligent souvent le promeneur à s'en éloigner. Mais régulièrement, à travers des parcs et autres espaces verts, nous pouvons cheminer le long de la grève, observer la faune aquatique et porter notre regard au loin sur un lac caressé par une modeste bise. Notre progression nous amène au Latenium, un musée et centre d'information sur le cite et la culture préhistorique de la Tène.
Poursuivant le long du lac, nous atteignons St-Blaise. Les ruelles du bourg sont en phase finale de rénovation mais nous pouvons déjà en admirer le résultat très réussi. Nous remontons le village le long du Ruau, un petit ruisseau plein de charme qui faisait tourner des roues à eau et le long duquel de trouvent quelques jolies fontaines. En haut du village, nous nous accordons une première pause.
Il est midi et quart déjà quand nous nous engageons, en forêt, le long du chainon le plus méridional de la chaine du Jura. Un agréable chemin de dévestiture forestière nous fait progresser en direction de Cornaux. Les conversations vont bon train, il y a toujours quelque chose à observer pour les férus de botanique. Une petite descente nous ramène au haut des vignes, où un banc un peu vermoulu et une place appropriée nous attendent pour le pique-nique. La vue dégagée – du lac de Bienne à celui de Neuchâtel – permet de s'orienter. Le Vully, Jolimont sont bien reconnaissables. Malheureusement les Alpes bernoises restent cachées dans des nuages cumuliformes. Le ciel est partiellement dégagé; le soleil pointe par intermittence entre des petits nuages ouateux pas trop menaçants, même s'ils paraissent bien sombres derrière nous, sur le Jura.
La température est parfaite pour marcher et nous nous remettons en route peu avant 13 h. Nous progressons au sommet des vignes jusqu'à Cressier pour en traverser le haut du village. On peut y admirer un bel ensemble de maisons vigneronnes et quelques demeures plus bourgeoises. Les revenus "pétroliers" de Cressier ont certainement contribués de façon heureuse à la rénovation et à l'entretien de ce patrimoine construit.
Une bonne "grimpette" nous conduit aux Combes. Le coup d'œil est magnifique. Maintenant l'île St-Pierre – sur le lac de Bienne – est bien reconnaissable et, le long des vignes, il est bien tentant de juger de la qualité du raisin, presque mature pour la vendange. Et les botanistes continuent de s'émerveiller devant la richesse du monde végétal ! Seul regret: les chemins des vignes et dans les zones de villa que nous traversons sont tous goudronnés. C'est dommage mais c'est le tribut à payer à la modernité, ici comme au Lavaux et dans bien d'autres régions.
Encore une, encore deux, encore trois petites descentes et remontées et nous voici enfin, arrivant par le haut, à la porte nord de l'enceinte de la Neuveville: la Tour Rouge. La découverte de la Rue du Marché, avec son ruisseau à ciel ouvert et ses fontaines est un dernier émerveillement. Il est trois heures et quart, nous avons marché près de 4 h 40. Une boisson, une glace sont bien méritées.
Il nous reste un peu de temps pour flâner dans la Neuveville, rejoindre les rives du lac de Bienne et la gare toute proche. Nous prenons le train de 16:35 h.
Merci aux Mardistes Karen Armstrong, Anne-Marie Bonzon, Jasmine Chapuis, Yvonne Corbaz, Mona Giobellina et Agnes Wauters d'avoir participé à cette découverte sur proposition du chef de course Laurent Jemelin.
Temps de marche effectif : env. 4 h 40’; dénivellation : env.+ 450 m pour une distance d’environ 17,8 km. Déplacement en train. Prix du billet ½ Tarif: CHF 36.50.
Difficulté T1; Chemins naturels en forêt, goudronnés dans les zones viticoles.
Le chef de course: Laurent Jemelin.


Ma 25 août 2020
Visite à Moiry
Dép. de Villeneuve pour 4 des 6 participants à 07h15: Olivier Trachsel, Christoph Keller et son épouse Ulrike (invitée) et la chef de course, Agnes Wauters. 09h20, afin arrivés au parking du barrage après le tunnel (une hr pour remonter le Val d’Anniviers suite travaux +++, camion en panne etc.!). 09h30 départ via “le sentier 2500” direction de notre cabane. Magnifique vue sur le lac, blue ciel. Météo alternance soleil et nuages élevés. Température clément. Christophe admire “enfin” et pour la premier fois des fleurs “edelweiss” sur territoir Suisse!! Arivée de la cheffe de course (dernière du troupeau) à la cabane à 12h20, chaleureusement acceuillie par Karen Armstrong. Les deux autres participants, Jasmine Chapuis et elle y sont donc montées ensemble directement depuis le bout du lac du glacier. Repas dedans ou dehours (selon envie et besoin du chaud), pour nous retrouver ensemble autour un café + excéllents gâteaux sur la terasse avec, toujours, cette vue majestueuse sur le glacier. Abiance assez calme à la cabane; nous sommes dons après des vacances! Les diverses séparations en plexiglas dans le réfectoire nous rappelent les consignes d’hygiène suite la crise du Covid, hélas, aussi ici dans ce lieu magique en altitude... Gestion du cabane encore compliquée par une grande manque d’eau. A dire les sanitaires internes ne peuvent plus être utilisées!! Courage aux travailleurs et gestionnairs de la cabane! Vers 13h30 nous disons au revoir à notre gardien Yvan et c’est la route de retour vers nos voitures. Christophe, Ulrike et Agnes, optent encore pour le “sentier 2150 du tour du lac” afin de rejoindre le parking du barrage. Retour à Monteux vers 18h30; circulation, heureusment, beaucoup plus fluide que le matin. Jolie journée; tous le monde contents.
Pour les interresés voici le lien du petit film, très sympa, d’Olivier Trachsel: https://youtu.be/UhfEjuc6Lxk


Sa 15 août 2020
VTT tour des Rochers de Naye
En lieu et place du weêk-end prévu à la Planiaz. Montée au col de Chaude par la route, descente sur l’alpage puis sur les Vuichoudes. Le long de la rivière petite Hongrin pour rejoindre les Cases. Arrêt à l’alpage pour y manger quelques morceaux de roti sur le pouce avant d’attaquer la dernière montée sur le Col de Jaman. Descente pour les uns directement sur Veytaux par la route de Caux et pour les autres par les sentiers direction Pont de Pierre et Montreux. Arrêt pour tous chez Philipp pour une agape bienvenue.
Une sortie de plus de 1’700m de dénivelé pour 42 km.








Ma 11 août 2020
Rando: Lauenen–Stübleni–Betelberg–Stoos-Lenk i.s
Participant(e)s : Lucien (chef de course), Bernadette, Alexandra, Karen, Agnès, Edith et Daniel, Yvonne, Laurent et Jasmine.
Rendez-vous était pris avec Lucien à Lauenen Geltenhorn à l’arrêt du bus. Nous sommes tous réunis dans le car depuis Lauenen, venus des 4 coins, de Genève ( !!! c’est loin, selon Karen), de Berne, de Gstaad (où se trouvaient leurs brosses à dents, pour Edith et Daniel) et de Montreux.
Nous démarrons à pied par une route forestière qui monte tranquillement dans les alpages,un chemin dans les prés, une partie goudronnée (petite) et nous voilà en train de monter de « petites grimpettes « en faux plats (selon Lucien) nous avalons les 850 m. de dénivelé avec une première pause boissons (une petite histoire de Karen sur les culottes à longues manches) et une deuxième pause prunes, dans un coin d’ombre bienvenu. Nous admirons la vue sur tous les sommets alentours et prenons un petit cours de Laurent sur la formation des Alpes et des Préalpes. Nous arrivons au sommet à Stübleni (2064 m). Le chemin est bordé de fleur : gentianes pourpres et autres, campanules, scabieuses – knauties, aconits et mêmes quelques myrtilles succulentes.
Après une pause pic-nic bien méritée, nous entamons la descente en direction de Leiterli où se trouve le départ de la cabine qui redescend en direction de la Lenk. Nous sommes tous très admiratifs de la façon dont les prés sont fauchés en vagues qui ondulent au loin. Tout au long de ce chemin, défilent des petites statues sur des piquets et sur la droite des pancartes avec les photos et les noms des plantes d’alpages. Belle rando panoramique, instructive et agréable en bonne compagnie.
Arrêt boissons et tartes (pour certaines) sur la terrasse de Leiterli offert par Edith à qui nous avons chanté un ‘joyeux anniversaire’ très applaudis par les gens autour de nous.
C’est là que nous nous disons au-revoir. 4 randonneurs descendent en cabine jusquà la Lenk et 6 autres partent à pieds jusqu’à la station intermédiaire de Stoos.
Depuis la Lenk, chacun repart dans ses pénates après une chouette journée d’échanges et d’amitié sans fausses notes. A la prochaine …..
Jasmine


Ma 28 juil. 2020
La Crevasse (Col des Planches) Randonnée
Le matin même, les prévisions météo s’annoncent compliquées du côté du col des Planches (risque d’orages violents). Je décide de prendre le plan B (j’y ai pensé durant mon trajet en bus vers le lieu de rassemblement !).
Ce sera donc une course avec départ à Aigle, chemin du Plantour, chemin de la Provence, montée à Panex et redescente sur le Parc Aventure à Aigle. 10 km, 600 m de montée. Au final que du plaisir pour les 6 participantes et participants (Karen, Yvonne, Agnès, Gisela, Christoph et le chef de course Olivier). Très joli tour surtout en forêt, tour qui se terminera avec un pique nique sous abri “de luxe” près du Parc Aventure suivi par un café dans un établissement sous le Château d’Aigle.
Donc, tout est bien qui finit bien ! La course initiale sera éventuellement reportée à l’année prochaine.
Olivier Trachsel
Le matin même, les prévisions m&ea ...
Sa 25 juil. 2020
Dent de lys
Dents de Lys depuis les sciernes d’Albeuve
Chloé, notre Cheffe de course préférée, nous a donné rendez-vous samedi 25 juillet à 9h route des Planis à Haut-Intyamon. Mais c’est qui, nous ? Marco, Delphine et Philippe supportés aussi par Nicole, notre Présidente préférée, qui a prévu de nous rejoindre au col de Lys. Pour Marco et moi, il y a bien un peu d’appréhension face à ce premier T4, appréhension rapidement dissipée par la tranquillité d’esprit et la maîtrise dont fait preuve Chloé, qui nous (re)donne toute confiance dans notre capacité à le faire. Certes, j’entends ici les rires un peu moqueurs des anciens du CAS, pour qui un T4 ça se fait en sautillant sur un pied... mais pour Marco et moi, arrivés au CAS il y a moins d’un an, ça reste un vrai challenge, même à 40 minutes de la maison... Départ donc tout en douceur, on patauge un peu dans la « beuze » mais le nuage qui semble suivre notre avancée nous protège de la chaleur sur les premières centaines de mètres de dénivelé. On donne un petit coup d’accélérateur qui interrompt les conversations pour rejoindre Nicole, qui nous attend depuis... un certain temps. Laquelle Nicole est bien équipée, si ce n’est qu’elle a oublié ses... chaussettes. Petit oubli qui sera réparé au sommet quand Delphine se rendra compte qu’elle en a emporté – par quel miracle puisque personne ne fait jamais ça ? – une seconde paire.
Après le col, on tombe sur des dizaines de petites grenouilles grandes comme un ongle. Les premiers rochers arrivent, on serre un peu les fesses et on attrape les premières chaines. Peu à peu, l’assurance vient puis le plaisir de choisir sa trajectoire, de sélectionner les rochers où poser les pieds et serrer les doigts. On se redresse et les premiers mètres de crête nous attendent. Quelques mots de Chloé, les bons mots à prononcer à ce moment là et nous continuons un peu crispés certes mais tellement fiers de cette petite victoire sur nous-mêmes... Nous arrivons en haut de la Dent après 1067 m de dénivelé presque trop vite : « oh c’est déjà fini... ».
Des congratulations « spéciales COVID », quelques photos de position de yoga, un petit casse-croute, et nous entamons une redescente « hors-piste ». Au menu un bâton cassé et quelques arrêts pour observer une bande de chamois sur la paroi en face. Là les versions divergent au sein du groupe : 34 en tout pour Delphine dont 4 mâles et 5 petits, 28 en tout pour Nicole. Pour Marco et moi, un certain nombre, occupés que nous sommes à poser précautionneusement nos pieds aux endroits les plus sûrs...
Après avoir franchi un nombre incalculable de clôtures électriques, nous retrouvons nos voitures finalement moins impressionnés par la Dent de Lys une fois qu’on la regarde d’en bas que quand nous étions en haut.
Un immense merci à Chloé, la première cheffe de course esthéticienne pour sa maîtrise, son calme et pour avoir su trouver les bons mots aux bons moments.
Un immense bravo à Marco pour avoir grimpé comme un chamois après avoir fait « une petite course à vélo sans prétention » la veille (« même pas mal »), pour avoir surmontéson appréhension et nous avoir fait saliver pendant toute la course avec ses « Pasta alle vongole ».
Un immense merci à Nicole pour avoir fermé la marche pendant la montée et pour nous avoir montré que là où nous étions bien contents d’avoir des bâtons et bien elle n’en avait absolument pas besoin.
Et merci au petit cabri Delphine pour avoir sautillé de rochers et rochers...
Et pour info, Chloé vend son Camper Van... Le journal du CAS ce n’est pas Ricardo, mais sait-on jamais...
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Dents de Lys depuis les sciernes d&rs ...
Sa 11 juil. 2020
Cornettes de bise (2432)
Cornettes de Bise, 2432M
Nous nous retrouvons à 09h00 au Parking du Flon, avec Chloé comme Cheffe de Course. Petit comité à l’appelle composé de José, Gilles, Marco et Ray.
Tout le mondes à l’heure, sauf la météo qui n’était pas des plus favorable : beaucoup de pluie pendant la nuit et ciel couvert le matin.
On attaque tout de suite la montée, parcour très sympa dans la nature, sans croiser personne. Première partie de montée direction Col de Vernaz, à 1815M d’altitude.
Une fois arrivé à moitié du parcour, nous continuons en direction des Cornettes, avec une pente un peu plus raide.
Malheureusement toujours dans les nuages, la vue au sommet n’est pas au rdv, mais notre bonne humeur (et les sandwiches) oui !! Petite cerise sur le gâteau, une famille de bouquetins nous regarde monter les derniers mètres de l’ascension, et nous surveille au moment du départ.
Afin d’effectuer une boucle, la descente s’effectue côté nord du Col de Chaudin.
Après avoir traversé quelque névé, une 1ère expérience pour quelque participants de cette sortie, nous prenons un sentier d'alpage direction Taney, et enfin avec un ciel dégagé, nous apercevons les montagnes autour et le lac de loin.
Arrivé au lac, on célèbre l’anniversaire de Ray avec une bière ou une tranche de gâteau.
Mais la journée n’est pas encore terminée, ils manquent les derniers mètres pour redescendre au parking :)
Très belle course, avec un total de D+ 1400, bouclé un 6 heures sans les pauses.
Merci encore à Chloé pour l’organisation, et aux participantspour la compagnie.
marco






Ma 7 juil. 2020
Marche sur les hauts du Bouveret








Di 5 juil. 2020
alpage du Pointet 1'945m; repas en Melley
Une sortie organisée de main de maître par Wolf avec repas à une table d’hôte de la région pour parfaire cette magnifique course. Les 1’470m de dénivellé ont été récompensés par une très belle descente, pas trop technique hormis le passage le long du bisse qui était un peu engagé.






Ma 30 juin. 2020
Aiguille de Mex
Par une météo parfaite, nous nous sommes retrouvés 19 sur la place centrale de Mex, point de départ d'une montée soutenue jusqu'au petit hameau " Les Planets " .
Trois itinéraires différents conduisent à ce hameau : le choix s'est imposé par une montée et une descente dans la forêt selon 2 sentiers différents, à l'ombre bienfaisante de grands conifères.
On a pu admirer en particulier de magnifiques cytises - dont le nom en allemand reflète mieux sa beauté: Goldregenbaum !
L'ascension se poursuit ensuite à travers de beaux pâturages fleuris jusqu'au sommet, d' où une vue magnifique sur plaine et montagne, grâce à la luminosité de cette journée.
Nous félicitons tout particulièrement Hartmut Seifert et Louis Bonzon pour leurs performances respectives compte tenu de leur santé.
Un arrêt à " l'Auberge de l'Armailli " permit d'étancher une soif de circonstance grâce à la gentillesse du restaurateur.
Voici les participant(e)s :
Agnès Wauters, Marco Barengo, Geneviève Osinga, Karen Armstrong, Olivier Trachsel, Anne-Marie et Olivier Martin, Evelyne Repiquet, Christiane Gavillet, Gisela Hauschild, Hartmut Seifert, Christophe Keller, Gérard Kraehenbuhl, Anne-Marie et Louis Bonzon, Mona Giobellina, Edith Willi.
Les organisateurs: Hedwige et Pierre Pradervand.
Amicalement
Pierre


Ma 30 juin. 2020
VTT Sonchaux pad la Tinière
Une autre classique par le vallon de la Tinière jusqu’à Herniaule. Montée très raide et longue, suivie d’un portage avant de déboucher à Sonchaux. Descente habituelle par l’ancienne route de Sonchaux. Bière chez Arnaud autour de la piscine. Seul Wolf nous a gratifié d’un plongeon très éclaboussant..







Sa 27 juin. 2020
Balfrin 3795m
Rochers du Van depuis Solalex
Le 27 juin 2020 à 9h nous retrouvons Frédéric et Johanna, chefs de course de notre première sortie avec le CAS, sur le parking de la Coop de Villeneuve. La programmation de cette sortie n’a pas été sans rebondissements! En effet, nous étions dans un premier temps inscrits pour l’ascension du Balfrin qui, faute de places suffisantes en cabane en lien avec le COVID-19, s’est transformée en bivouac suivi d’une montée à la Ruinette. Des orages menaçants alors cette deuxième option, nos chefs de courses nous proposèrent finalement une sympathique journée de randonnée au départ de Solalex, cotation T5. Un grand merci à eux pour leurs recherches et leur motivation à maintenir une sortie ce week-end! Nous rencontrons alors Dominique, Yves et Véronique au cours du trajet judicieusement proposé en covoiturage. Tous expérimentés et passionnés, nous avons pu bénéficier de leur précieux conseils tout au long de la journée! Voiture garée et matériel soigneusement en place dans le sac à dos, nous quittons le parking de Solalex et entamons la montée pour les Rochers du Van. La pente, au début douce, va progressivement s’accentuer pour finalement atteindre les 55 degrés. Dotés pour la première fois d’un piolet à la main (par ailleurs gracieusement prêté par les autres participants) nous apprécions l’exercice et comprenons tout l’intérêt de ce précieux matériel ! Arrivés au sommet, nous admirons la vue magnifique sur Solalex, la chaîne de l’Argentine et même les tours d’Aï et de Mayen. Nous profitons de ce panorama incroyable pour prendre une pause et pique-niquer. Cette pause a été l’occasion pour nous de nous familiariser avec l’encordement et les noeuds à réaliser grâce aux démonstrations et explications des autres participants. Cette jolie pause terminée nous prenons le chemin du retour par la crête puis au travers des champs en fleurs... Encore quelques centaines de mètres le long d’un Sentier partiellement ombragé et nous atteignons avec joie la buvette de Solalex ! Récompense pour tout le monde et chouette moment de partage ! Encore un grand merci à tous pour votre accueil et pour ce moment en montagne ! Nous espérons vous revoir bientôt et pourquoi pas pour une nouvelle tentative au Balfrin ! Marion et Thomas








Ma 23 juin. 2020
Le Mont de L'Arpille
La journée du 23 juin 2020 s’annonce radieuse. 10 mardistes (Karen chef de couse, Edith, Geneviève, Christianne, Mona, Anne-Marie Bonzon, Anne-Marie Martin, Rita et 2 Messieurs Olivier et Armand) se retrouvent sur le parking du col de la Forclaz en dessus de Martigny. D’entrée nous attaquons une montée marquée de 500m de dénivelé dans une forêt de pins, mélèzes et sapins, bien agréable par cette chaleur. Arrivées sur le plateau « Plan de Gy » anémones et gentianes d’une grandeur exceptionnelles nous font une haie d’honneur. Quelle beauté ! Après 2 heures, nous voici arrivés au sommet avec une vue époustouflante sur la vallée de Rhône et les Alpes. Les chèvres !!(selon une participante) nous attendaient en compagnie de Sonia et Patrick, qui nous ont rejoint en bike depuis Ravoire. Entourée de rhododendrons nous prenons le temps pour admirer le panorama. Pour la descente, Karen nous propose une boucle en direction de l’alpage d’Arpille en passant devant le Scex de Meylan. Nous finissons cette belle journée autour du verre de l’amitié.
Merci Karen pour cette belle journée. Rita Vuichard