
Activités
Ma 28 juin. 2022
Sentier panoramique des Paccots
Changement de destination sur le Chemin du 700ème au départ du parking des Motalles
La météo nous prédit quelques heures sans pluie nous en profitons pour différer la marche glissante prévue sous la Dent de Lys au profit d’une déambulation sur chemin forestier large avec comme modeste but un grand bol d’air frais. Ont été gagnants : Anne-Claude, Christiane, Karen, Christoph, Sylvie, Yvonne, Verena et votre rédactrice-guide Geneviève.
Dés la sortie du parking des Motalles nous empruntons le joli chemin en caillebottis, bordé par un épais champ de fleurs d’été où dominent les tiges et fleurs de reine des près. Un peu plus loin la forêt de pins intacte est tapissée de myrtillers et plantes variées au vert contrasté. Arrivant près du coeur du marais nous admirons les plantes carnivores en fleurs. Elle se sont multipliées presque à perte de vue. Différents panneaux didactiques nous expliquent où se trouve la fosse de tourbe et comment elle se forme.
Après cette pause culturelle nous passons la ferme de Prantin puis suivons les indications “chemin du 700éme” en légère pente descendante. Au loin nous apercevons la pinte des Mossettes. Le large chemin forestier permet de marcher 4 par 4 en échangeant d’intéressants propos. Arrivés un peu avant la fontaine des Pautex nous empruntons un sentier raide en direction du chalet des Pautex . Nouvelle petite pause puis nous poursuivons en forêt sur le chemin de l’Hermite pour revenir vers les plantes carnivores et regagner le parking. C’est l’heure du café , 2h30 se sont écoulées. Nous nous installons sur la vaste terrasse du “1209”, échangeant sans se lasser avec Verena la sympathique marcheuse qui nous a rejoint pour la première fois ce matin et nous intéressant aux visites culturelles faites ça et là par les uns et les autres.
La crainte de la pluie a été bénéfique, parce ce parcours est accessible en toute saison (nous vons croisé une poussette) … et puis le bol d’air avait bon goût!

Ma 14 juin. 2022
La Grubenberghütte
C’est un jour lumineux à souhait pour effectuer cette course. Notre cohorte de 10 participants se lance à l’assault de la pente au point 1478 lieu-dit Undere Ruedersberg. Après mûre réflexion, nos 3 voitures sont mises à l’abri des troupeaux un peu plus loin sur la route qui va de Abländschen à Saanen. La pente est progressive à flanc de montagne. Cinquante minutes plus tard nous atteignons le joli chalet fleuri au point 1685. Il reste 30 minutes de marche pour apercevoir la Grubenberghütte 1839m . Certains se reposent là, les autres atteignent en 20’ le chalet Le Savigny, précisément sous la Dent de Savigny. Là, les imposants Gastlosen sont partiellement faits de roches roses: impressionnants et superbes.
Dés notre retour nous pique-niquons ensemble à quelques mètres au dessus de la Grubenberghutte. La visibilité est optimale, c’est un privilège de voir tous les sommets alentours. Rien ne presse nous reprenons le même chemin et atteignons en silence nos voitures. C’est à Jaun sur la terrasse de l’Hôtel de la Cascade que nous faisons cercle autour de rafraîchissements et cafés. D’autres belles balades sont évoquées pendant ce moment convivial.
Ont découvert ce parcours facile et fleuri: Mona, Anne-Marie, Yvonne, Karen, Jasmine, Nicolette, Anne-Claude , Hartmut, Geneviève. Avec nous il yavait un sympathique invité de la section Jaman: André Perrenoud . C’est Hartmut un bon connaisseur de cette région qui nous a donné l’idée de ce parcours. Merci Hartmut!
Récit de Geneviève


Me 25 mai 2022
Moudon - Ecublens- Rue
Nous étions 16 heureux mercredistes à avoir entrepris la balade au Château de Rue sous un temps merveilleux et ensoleillé.
Le groupe 1 est partie de Moudon, qui constitue un ensemble architectural exceptionnel du Moyen-Âge. Nous sommes passé devant l’église gothique de St. Etienne, et puis la Grenette, marché couvert au grain et sa boucherie, et puis nous avons admiré la fontaine de la Justice des Hommes. Nous avons ensuite monté le long de la Rue du Château avec ses anciennes maisons en pierre de molasse et puis la maison dite « Bernoise » avec son imposant avant toit et son avant poteau en bois. Et puis devant la fontaine de la Justice des Dieux. C’est là que nous avons rencontré notre ami Edouard, qui marchait en direction de la gare pour rejoindre son groupe 2 à la gare d’Ecublens. Nous avons admiré la maison d’Edouard et nous avons continué notre marche sur La Ville Haute et puis descendu au bord de la Broye que nous avons longé jusqu’à Bressonnaz. Nous avons franchi le Bressonne en prenant l’ancien pont historique du XVII siècle.
Le groupe 2 est partie depuis la gare d’Ecublens Rue en direction du Château de Rue en empruntant le chemin qui passe par Promasens et Riombochet. Au lieu-dit « Au Saulgny » les deux groupes se sont rencontrés à la croisée de leurs balades. Cette rencontre n’avait pas été planifié. Ce fut un pur hasard. Les deux groupes ont continué leur balade ensemble vers le Château de Rue. Nous sommes passé au lieu-dit « La Tannerie » et puis nous avons attaqué la dernière montée sur Rue et son Château.
Arrivé au Château nous avons été reçus par Marianne et Pascal Traber qui nous ont préparé un délicieux apéritif dinatoire avec des plats de charcuterie et de fromage provenant de la boucherie et laiterie d’Ursy accompagné d’excellente bouteilles de blanc de rouge. Assis à l’ombre dans la belle cour du château nous avons tous appréciés la bonne ambiance.
M. Roger Perriard, nous a ensuite guidé au tour du château, où nous avons pu visiter le puit qui fait 45m de profondeur, le donjon, les caves et puis la partie résidence. Ces commentaires sur l’histoire du château et la région ont été très apprécié par tous.
Après la visite du château le café accompagné de ses gâteaux à la rhubarbe et pruneaux nous attendaient. Et ce fut le moment de dire adieux à nos hôtes et notre guide et d’entreprendre le retour au bord du Léman.
Ce fut une belle journée et comme toujours l’esprit de camaraderie et la bonne humeur des mercredistes nous accompagnait.
Pierre Serex








Ma 10 mai 2022
Le Mont Bifé, le Vanil des Cours
La journée commence bien : soleil radieux et marcheurs en nombre (14) se retrouvent à 8h30 sur le parking des Chevalleyres à Blonay. Quarante minutes plus tard nos voitures sont alignées face à l’église de Cerniat commune du Val de Charmey. Après un aller/retour sur le bitume pour rien, nous empruntons face à l’église la route bordée d’authentiques chalets en direction de Crésus au lieu-dit les Clusets, après 10 minutes de montée nous empruntons une route de montagne réservée aux agriculteurs. La pente est raide. Les conversations vont bon train, c’est un moyen efficace pour progresser sans trop se soucier de la pente. Nous parvenons à la ferme d’alpage de la Crause où les sympatiques propriétaires se préparent à accueillir le bétail. Nous les informons de la présence d’un important essaim d’abeilles sur la clôture à quelques dizaine de mètres en de-ça. Le propriétaire des lieux est content de voir notre intérêt pour les 2 grands tas de bois qui alimenteront le chaudron.
Quelques mètres plus haut nous bifurquons à gauche vers le Mont Bifé 1482m. Vingt minutes plus tard nous atteignons le sommet rocheux où il n’y a de place que pour deux personnes à la fois. Wouah la vue ! A nos pieds nous admirons l’entier du lac de Gruyère et son eau turquoise.
Notre élan ne s’arrête pas là, après une courte descente nous suivons la crête qui monte en direction du Vanil des Cours 1404m. Un banc, une belle croix nous attendent après 35 minutes de sentier rocheux raide. II est 11h 30, l’endroit est ensoleillé c’est ici que nous sortons nos pique-niques.
La descente escarpée nous conduit vers une clairière. La ferme de La Guille est en vue nous nous y dirigeons. Après une courte pause, le groupe amorce le gros de la descente qui nous ramène au village de Cerniat par la route goudronnée. C’est là que Cathy nous dit au revoir.
Dénivellation 585m, temps de marche 4h.
Une halte boissons sur la vaste terrasse du restaurant de l’Hôtel de ville de Broc nous fait grand bien. Autour de la table : Hartmut, Karen, Nicolette, Mona, Christoph, Agnes, Jasmine, Christiane, Anne-Claude, Geneviève; Catherine Cochard et Hilde Leeman-Boutens nous ont fait le plaisir de leur première participation. Rolf Koch était l’invité du jour.
Récit de Geneviève, photos de Mona, Rolf et Christiane






Ma 3 mai 2022
Vionnaz-Torgon-Miex-Vouvry
3 mai 2022 : départ pour une boucle exigente et variée : Vionnaz-Torgon- Miex-Vouvry-Vionnaz.
C’est une équipe 100 % féminine de 10 personnes très motivées qui se sont retrouvées à Vionnaz pour la course du jour.
Le Ciel est très gris au-dessus de nous et nos applications météo annoncent de la pluie dès 12h00.
La première partie de la course ne présentant aucune difficulté : nous nous mettons en route et après l’Eglise et le cimetière de Vionnaz nous sommes sur “le vieux chemin” et passons le charmant hameau de Beffeux.
De 1700 à 1920 les hommes de Beffeux et de Bonne – Année (autre hameau) ont exploité la carrière “la Plâtrière”de pierres à gypse (à chaux), ancêtre du ciment. Les murs des anciennes maisons sont encore enduits de chaux. Le chemin était emprunté par des mulets et de ce fait est très agréable et bien préservé.
Nous traversons ensuite le hameau de Mayen où nous faisons une pause sur la place du village avec sa jolie fontaine. Le hameau de Mayen a été détruit par un incendie dans la nuit du 13 au 14 novembre 1946. Sur les 10 maisons familiales, granges et écuries existantes : seule la première maison à l’entrée du village en a réchappé. 80 personnes se sont trouvées sans logis et furent hébergées dans les villages environnants.
Après nous être désaltérées nous continuons à monter passons le hameau de Revereulaz avec son imposante église construite entre 1899 et 1901 : elle est le fruit des corvées des habitants des hameaux environnants. Notre sentier continue après Revereulaz dans la forêt et après avoir longé un pré nous arriverons au bas du village de Torgon 1085 m : 700 m de dénivellé depuis notre départ de Vionnaz.
Nous trouvons une belle place à la Volière ( bâtiment et jardin pour colonies de vacances) pour faire notre pause pic-nic avec une vue magnifique sur la plaine et ses champs de colza d’un jaune éclatant et du bout du lac.
Le ciel était un peu bleu, il s’est recouvert et nous hésitons …. la traversée Torgon – Miex n’est pas à faire en temps de pluie mais finalement nous partons car la région de Vouvry est encore sous ciel bleu.
Le chemin est escarpé, étroit et par endroit glissant avec des passages un peu techniques mais bien équipés : chaînes, échelles. Chacune y est bien arrivée et finalement le ciel redevenu bleu nous rassure. Une bonne heure pour cette traversée et au bout avant la descente nous trouvons “un carrousel” qui nous tend les bras pour une petite pause bien méritée.
Notre sentier part avant le village de Miex, en forêt le long du ruisseau le “Fossau” . Les couleurs de la forêt sont gaies et joyeuses car il y a beaucoup de feuillus d’un vert tendre et avec les rayons du soleil passant à travers c’est féérique. La fin du chemin de descente vers Vouvry est moins agréable : route forestière caillouteuse et pentue.
Nous arrivons à Vouvry et finissons notre parcours par un joli sentier dans la forêt au sol tapissé d’Alliaires.
Sur notre parcours nous avons pu observer de belles fleurs : telles qu’ Ancolies, Dentaires, Alliaires (ail des ours) Orchis Bouffon, etc..
Après 6 heures de marche, 700 m de dénivellé, un peu plus de 20 km de marche : nous arrivons au parking, un brin fatiguées mais des étoiles plein les yeux.
Merci à chacune pour votre participation et bonne humeur : j’ai passé une merveilleuse journée et j’espère que vous aussi.
Les participantes sont : Mona, Anne-Marie, Cathi, Agnès, Karen, Jasmine, Christiane, Anne-Claude, Nicollette et
Yvonne : cheffe de course du jour








Ve 15 avr. 2022
Ski de Randonnée, Italie, Valgrisenche
Week end de Pâques au Valgrisenche 15 au 18 avril
Vendredi 15 avril
Après 3 ans d’annulations, cette fois ça y est. Départ pour les 4 jours dans la vallée de Valgrisenche, en dessus d’Aoste. Pour situer, derrière les montagnes de la cabane, c’est Val d’Isère. Nous sommes une fine équipe.
Le mauvais temps, lui, ne s’est pas invité. Le soleil tape fort, et il sera ainsi pour les 4 jours. Pas un nuage n’a osé nous approcher. La neige ayant fondu entre Bonne et le bout du lac, c’est en voiture que nous avons pu rejoindre Uselières, départ pour notre montée à la cabane Bezzi.
En 2h30 (1 heure de gagné grâce à la voiture…) nous atteignons le fond de la vallée. Nous prenons possession des petits dortoirs et c’est l’heure de la première bière sur les bancs, devant le refuge.
Souper, (italien, donc bon et en quantité…) topo sur la montagne du lendemain et dodo.
Samedi 16 avril
Becca di Traversière, 3330m, un grand classique. (1020m+)
7h45, avec 15 minutes d’avance et une équipe motivée, nous remontons la vallée jusqu’au pied du glacier.
En fait, la difficulté du jour sera de passer le verrou du glacier. La pente est courte mais raide, et surtout gelée avec la nuit.
Voilà, c’est fait, après quelques conversions hasardeuses, le soleil s’est levé sur le glacier, et la pause est bienvenue.
Devant nous, pour la suite : un grand pan de neige débonnaire et notre sommet du jour.
La discussion s’installe : soit faire le sommet, ou la grande combe, vierge à droite de la pyramide.
2 groupes sont formés, un groupe de 3 « alpinistes » pour la crête en mixte et le groupe « skieur » pour faire les 200m de combe. Notre Anne Marie d’abord un peu lasse, a mis le couteau entre les dents et est du groupe« skieur ». Elle nous dira plus tard, que pour rien au monde, elle aurait loupé ces 200 m de poudreuse`! Quelques-unes sont même montées deux fois. Aless, elle, est descendu plus bas, pour aller chercher son ski…
Le groupe « alpiniste » n’est resté que peu de temps à la croix : un vent glacial y soufflait.
Une descente qui n’en finis pas, pic-nic au soleil et c’est le retour sur la cabane. 13h15 a été un bon timing pour la neige : juste revenue.
Bière et animation (nous n’en dirons pas plus…) sur les bancs dehors, face au glacier, partie de cartes et c’est le souper. Topo pour le lendemain et son « mur » de 450m juste en dessus du refuge.
Les chefs (fes) de courses ont fait honneurs aux divers genepi, mais ont dû aller se coucher quand même : le bar fermait…
Dimanche17 avril,
Truc blanc, 3405m aussi un grand classique. ( 1100m +)
A nouveau un départ avec de l’avance. La stratégie du début de journée a été de faire partir les plus lents 45 mn avant le reste du groupe, ce qui nous faisait un regroupement pour le premier arrêt, à la fin du “mur”, au soleil. Pour la suite, une longue montée dans une neige brillante comme un miroir jusqu’au col du Truc Blanc.
Là, 2 randonneuses, Rachelina et Maeva nous quittent pour descendre sur Uselières. Topo sur la remontée au col de Ghiasson et la descente du glacier. Tout c’est bien passé pour ces exploratrices, comme des grandes, accompagnées par un local.
Depuis le col, douce arrivée en écharpe au belvédère du Truc blanc. Une vue sur le Grand Paradis, massif du Mont Rose, Cervin, Mont Blanc , Alpes Penniques, La Grande Casse.
Il est 13h15, l’heure de la descente a sonné dans une neige à point.
Aline nous trouve, pour la fin de la course, un étroit, raide et long couloir qui surplombe le refuge, histoire de frimer un peu…
2 amatrices de baignade en eau froide s’éclipsent un moment, histoire de profiter d’une grosse gouille un peu cachée, aux alentours du gite.
Re-souper et re-genepi. Dans les avis, l’élixir de rhubarbe est moyen. Il est vrai que cela ressemble plutôt à de la suze ( sans coca).
Lundi 17 avril
Col de Ghiasson 3100m, Bec de Ghiasson 3215m, descente sur Uselières 1785m.
A nouveau la même stratégie, 2 groupes pour la première montée. Après, à vue nous mettons nos talents de recherche d’itinéraire jusqu’au col. Qu’il est loin…
3 skieurs montent au sommet, 150m plus haut que le passage et c’est la descente, cette fois à 13h30 sur le village de départ à 1785m, soit près de 1400m de descente.
Un retour dans la vallée avec d’excellentes conditions, à crier des « Youpi ! » jusqu’en bas.
La recherche d’itinéraire entre l’alpage de la Carra, jusqu’aux voitures nous a pimenté la fin : Neige pourrie, impossible à tourner. Grosses rigolades dans les chutes improbables et heureusement sans mal, au milieu de la forêt de mélèzes.
Après ce week-end de vacances, pleins les yeux, les lèvres grillées, et coups de soleil, c’est l’arrêt à Valgrisenche-village, pour des assiettées de röstis .
Et juste 20mn d’attente au Tunnel du Grand St Bernard. Parfait
Merci à cette joyeuse équipe, quelle forme ! Et à de nouvelles aventures !
Et définitivement, le chef de course n’est pas très bon aux cartes…
« C »








Ma 12 avr. 2022
Rellerligrat
Rellerligrat 12.04.2022
Très belle randonnée au Rellerligrat, pour sept Mardistes !
Comme Schönried est éloigné nous prenons le train relativement tôt, départ de Montreux à 7h50!
Nous cheminons vers le Pays-d’Enhaut et, plus nous approchons du but plus nous nous rendons compte que les raquettes accrochées à notre sac risquent d’être inutiles et lourdes à porter ! Arrivés à Schönried, nous nous approchons de la cheffe de gare, pour lui demander si les raquettes sont nécessaires pour grimper au Rellerligrat (ce que m’avait dit, à deux reprises, l’office du Tourisme de Gstaad!). Sa réponse rapide fut NON! Aussi, très aimable cette personne accepte de garder nos 7 paires de raquettes jusqu’à notre retour! Nous voilà soulagés.
Il fait très doux, nous nous séparons très vite de notre veste et entreprenons la montée en faisant “le grand tour” pour éviter une montée plutôt pentue! Nous traversons quelques névés sur notre chemin, la neige est molle. C’était la bonne décision d’abandonner nos raquettes, ouf!
La montée n’est pas rude mais quand même éprouvante car la température est très printanière …le t-shirt aurait été de rigueur!
Arrivés au sommet, le panorama est impressionnant: un cirque de montagnes très blanches puisqu’il a neigé samedi dernier, la vue est époustouflante.
Notre pique-nique est bienvenu sur l’ancienne terrasse de la télécabine qui n’est plus en activité depuis 2019. Nous sommes seuls au monde devant les bienfaits de la nature qui nous éblouissent et nous comblent.
Nous devons déjà penser au retour car le train n’attend personne!
Nous coupons à travers le terrain sec même si la neige n’a disparu que depuis quelques jours. A un moment donné, le sentier n’est plus très visible, des coupes de bois l’ont recouvert, nous enjambons le vert de sapins… sentier peu agréable et pratiquement camouflé!
Nous improvisons, certaines par une pente un peu plus osée, et les autres par un sentier très humide et difficile à suivre par manque de balises.
Les 7 marcheurs rassemblés, nous nous désaltérons près d’une fontaine où l’eau coule très fraîche ce qui ravit nos babines et nos mains!
Nous repartons ….toujours en quête du vrai chemin pour retrouver Schönried. C’est à cette issue que nous lisons “chemin barré pour cause de travaux forestiers”….. Voilà l’explication! Toutefois nous n’avons pas vu un tel panneau à l’entrée du sentier descendant!
Nous avons encore le temps de prendre une boisson rafraîchissante sur une terrasse en se remémorant les beaux moments de cette superbe journée ensoleillée tant à l’extérieur que dans les coeurs.
Merci à Geneviève, Gisela, Karen, Mona, Yvonne et Hartmut de m’avoir suivie durant ce jour réussi, grâce à la bonne humeur de chacun et au ciel qui nous a gratifié de ses rayons dorés.
Christiane





Ma 5 avr. 2022
La Dunanche
Alors que le temps n’est pas très engageant le matin, bien que la météo annonce des éclaircies, 7 mardistes partent pour Arzier. Pour où ? Mais oui, Arzier au-dessus de Nyon, un superbe balcon. A Nyon il faut prendre le petit train rouge qui monte vers St-Cergue. Voilà Arzier, nous sommes déjà à 834 m. Après un café revigorant, la petite troupe prend dans la forêt la direction des hauts de bassins. Au détour du chemin, oh surprise !, un couple de chamois broute paisiblement. Ils ne semblent nullement effrayés, se contentant de se mettre à une trentaine de mètres dans le bois et à nous regarder passer.
Plus loin nous entrons dans un grand pâturage, typiquement jurassien, avec les fermes de La Chaumette et du Bugnonet. Il faut suivre un petit moment la route, bordée de chaque côté d’un mur en pierres sèches. Si cette route des Montagnes est ouverte à la circulation depuis quelques jours, nous n’y avons, heureusement, pas vu ou entendu le moindre véhicule.
Dans la forêt, un barrage anti-chars et des toblerones, nous indiquent que nous nous trouvons tout au haut de cette ligne de défense qui descend des crêtes du Jura jusqu’au lac, vers Gland. Nous voilà bientôt sur le lieu de pique-nique, un monticule équipés d’une grande table, d’un foyer et même d’un fauteuil en bois. La vue est très large, il y a du soleil, mais malheureusement le Mont-Blanc, en face, est scié par un nuage, on le verra plus tard. Les montagnes que nous connaissons depuis la Riviera se présentent sous un autre angle, il est parfois difficile de les reconnaitre.
Après cette halte, on repart par la ferme de La Dunanche et amorçons notre retour vers Arzier. Il n’y a pas que de la descente, mais notre chemin nous conduit vers une vaste ouverture dans la forêt, dans laquelle se trouvent les ruines de l’ancienne chartreuse d’Oujon, qui a été la plus ancienne chartreuse en Suisse. Fondée en 1146, soit seulement 60 ans après la maison-mère vers Grenoble, par des moines bénédictins, le lieu est très isolé, favorisant une vie érémitique. Considéré aujourd’hui comme bien culturel d’importance nationale, il n’en est rien resté après la Réforme, si ce n’est des fondations, complétées par d’intéressants panneaux explicatifs.
L’épisode culturel passé, nous voici sur un sentier spirituel, garni de quelques textes appelant à la réflexion et à la méditation. Au sortir de la forêt, nous atteignons à nouveau Arzier, où nous reprenons notre train, non sans avoir pu admirer les montagnes de Savoie et bien entendu le Mont-Blanc, enfin dégagé.







Ma 22 mar. 2022
La Sarraz - Ferreyres
Trois rivières « bien de chez nous ».
11 mardistes dans le train en route pour La Sarraz. C’est facile, c’est direct, pas besoin de changer. Dès le point de départ, nous pouvons admirer le château de La Sarraz. Puis pour rallier St-Loup nous passons par une forêt, qui était faite de buis, mais qui aujourd’hui ressemble plus à une forêt hantée, avec des troncs moussus, dépourvus de végétation. Est-ce dû à la pyrale ?
Passé cette forêt apocalyptique, nous arrivons à l’hôpital de St-Loup, qui fût pendant longtemps un haut-lieu de la formation des infirmières, mais qui bientôt ne sera plus qu’un souvenir. Nous nous enfonçons dans le vallon de notre première rivière, le Nozon, jusqu’à la chute du Dard. C’est le printemps, il y a de l’eau, une pause bienvenue nous permet d’admirer le site. Puis c’est la grimpette jusqu’à Croy. Tout en longeant un bief du Nozon, nous passons devant deux anciens lavoirs, très bien conservés, jolis peut-être, mais personne aujourd’hui n’aurait envie d’y faire sa lessive.
Nous quittons le Nozon et montons vers la forêt de Bellaires. Le pique-nique se fait dans un endroit dégagé, Nous n’irons pas voir la pierre gravée, dont les dessins ne sont pas toujours très lisibles, mais optons pour un petit vallon, qui, il y a une semaine était rempli de nivéoles. Après être passés au large de la Vy-Ferroches, nous voici aux abords d’un ancien four à chaux. Heureusement qu’un panneau explicatif nous indique l’endroit, sinon nous ne l’aurions pas remarqué. Un peu plus loin ce sont des fours à fer, hauts-fourneaux moyenâgeux, qui sont protégés par une bâtisse garnie de fenêtres, permettant de voir à l’intérieur les panneaux qui nous renseignent sur ce site d’importance.
Plus loin en arrivant à la Carrière Jaune, lieu aride, presque provençal, voici les anémones pulsatilles, en peine floraison. Nous retrouvons à nouveau le bitume jusqu’au village de Ferreyres, joli bourg vaudois. Nous descendons alors vers notre deuxième rivière, le Veyron, que l’on traverse avant de remonter en direction de la Tine de Conflens. Les premières impressions sont déjà superbes, mais il vaut la peine de descendre par le chemin qui a été remis en état, jusqu’au confluent du Veyron et de la Venoge, au fond de la gorge. Ce n’est peut-être pas la vision de Colorado chantée par Gilles, mais il se dégage du site une vision de puissance et de poésie.
Déjà il faut partir et regagner la gare de la Sarraz, après avoir traversé une Venoge assagie et filant vers le bleu Léman.
François





Sa 12 mar. 2022
Ski de Randonnée, Pointe de Chemoz
Pointe de Chemoz, 13 mars
9h00 tapante au parc de Tourbillon, en dessus des bains d’Ovronnaz, les 7 skieurs sont prêts à faire les 1200m de montée du jour:
Regula, Alessandra, Rachelina, La toujours jeune Anne-Marie, Catherine, Marco et votre serviteur.
Quelques absents pour cause de blessures.
Nous voilà parti sur l’itinéraire de l’ancien téléski, en visant les taches de neige. Mini pause à la Lutze, buvette d’alpage, pour enlever quelques couches et manger un truc.
Le temps est au beau, quelques nuages pour donner un peu d’ambiance, neige de printemps, juste décaillée. Nous voilà repartis en direction du sommet : D’abord une montée entre les paravalanches, une petite combe que nous suivrons un moment avant de bifurquer à droite dans une faiblesse de la barre de rocher pour accéder au col. La montée dans le petit dévaloir se fit de conversions en conversions, la pente étant raide. Mais une super trace nous amena sur le replat, sous le sommet.
Il reste 220m. Rachelina reste au col, Anne Marie monta encore une centaine de mètres, le reste du groupe, à pieds ou à ski arrive sur ce belvédère :
Une vue s’étalant de la Dent de Morcles au Grand Muveran, avec un aperçu sur la cabane Rambert en contrebas. Evidemment, à l’opposé, les alpes valaisannes.
C’est l’heure de la descente, dans une neige à point jusqu’à la buvette où une petite bière, limonade ou café en plus du pic nic clôtura la course.
Une descente par la route jusqu’au voitures et c’est le retour, sans bouchons ( !)
Le génie des alpages





Ma 8 mar. 2022
Ski de piste
Magnifique journée à Grimentz. Suite à un accident sur l’autoroute, nous sommes arrivés avec un petit retard à l’heure du rendez-vous. Après une petite pause café, nous sommes partis sur les pistes de Grimentz. Les conditions étaient magnifiques, beau soleil et belle neige. A midi, nous nous sommes arrêtés au restaurant de Bendolla, soit pour un picnic, une soupe ou une tranche de gâteau. Pour l’après-midi, nous nous sommes vite mis d’accord pour aller découvrir le domaine de Zinal où les conditions étaient également très bonnes. A 15.45, nous étions de retour à la station.
Les 9 membres du CAS, Louis, Anne-Marie B., Sonia, Serge, Karin, Agnes, Christiane, Anne-Claude, Anne-Marie M. ont eu beaucoup de plaisir de se retrouver et de partager un bon moment dans ce cadre magnifique du Val d’Anniviers. Le panorama est toujours ausssi beau.
Merci à tous.
Anne-Marie M.
Magnifique journée à Grimentz. Su ...
Sa 5 mar. 2022
Ski rando, expérience de tractage d'une personne en situation de handicapointe de Bellevue
Sortie handiski en dualski avec Thomas et sa famille : vivre l’instant présent.
Quelle belle journée! Sur météo suisse, cela fait 5 jours qu’ils annoncent ensoleillé sur la Suisse et ce beau temps va continuer. Quelqu’un me souffle que cela fait trois mois qu’il fait beau! Et quelle chance pour tous ceux qui se sont joint à Thomas, Jean-Marie ( son papa) et Mathilde (sa soeur) afin de leur offrir, de nous offrir une journée mémorable. Vivre chaque instant avec du soleil dans les coeurs.
Rendez-vous à 10 h entre Le Col de Mosses et la Lécherette. Bondé. C’est jour de course pour des attelages de chiens de traineaux! ...oups, va falloir partager un bout de piste avec? Eh bien oui, nous aurons l’occasion de les admirer sur le début de notre parcours direction Pra Cornet.
Notre attelage se comporte de 6 “tracteurs” encordés par trois sur deux brins de corde, un dualski sur lequel est bien installé Thomas et Christian, physio de Thomas et, pour la journée, pilote de l’engin. Nous avons 4 “tracteurs” de réserve qui prendront la relève à mi-chemin. L’équipe comporte aussi un éclaireur qui choisit la trace, une accompagnante pour Jean-Marie et Mathilde qui se démènent avec leur matériel de location, des photographes et des porteurs de ski, sac et raquette (matériel de Christian).
Enrichis de l’expérience de notre précédente sortie à la pointe de Bellevue, nous avons raccourci le trajet et surtout réduit le niveau de difficulté. Le tracé jusqu’à notre point de pic nic quitte rapidement la piste de ski de fond pour prendre le joli tracé de raquette et traverser la forêt pour rejoindre une bossette surplombant la buvette de Pra Cornet.
Thomas encourage et admire les “tracteurs”, se réjouit des statues de bois le long du tracé et s’inquiète parfois de la distance qui se creuse avec son papa et sa soeur. C’est l’occasion rêvée de ralentir notre attelage par un exercice de virages dans la pente. Les intéressés peuvent s’adesser à Marco qui est spécialement présent pour prendre des notes afin de réitérer l’exploit avec ses résidents et collègues lors d’une prochaine sortie. L’exercice de coordination consiste à faire continuer les “tracteurs” tout droit pour amener le dualski au point de virage puis de faire virer les deux cordées de trois pour reprendre la trace devant le dual...qui bien évidemment aura viré tout doucement durant l’exercice. Si vous ne visualisez pas, c’est normal, venez participer l’année prochaine! C’est tout simple, c’est un travail d’équipe avec le coeur ;-)
Pic nic au soleil, descente dans la poudreuse, repeautage, remontée au sommet des installations et redescente sur la piste ! Bravo à tous pour votre bonne humeur, votre efficacité, pour ce moment de partage !
Merci à Thomas, Christian, Jean.Marie et Mathilde !
Et bravo à Chantal, Philpp, Delphine, Philippe, Henry, Yves, Simon, Marco, Wolf, Susi, Anne Claude
Pour le récit de course, Nicole
Ma 1 mar. 2022
les Rodomonts
Journée ensoleillée à souhait pour cette randonnée exigeante. Sept Mardistes s’y sont lancés avec bonheur. Le parcours débute face à l’église de Rougemont. La direction prise est le lieu-dit Forcla. Le chemin forestier suit l’arête Sud-Ouest des Rodomonts. Arrivés à La Chia nous mettons les raquettes, le sommet est en vue, et pourtant nous avons encore pas mal de neige à brasser avant de passer Rodomont Devant puis avec le dernier sursaut d’énergie atteindre Le Signal de Rodomont à 1878m.
12h30, le picnic est bienvenu , nous sommes aguillés sur des poutres face au soleil. Nous repèrons tous les sommets connus, et les parcours du programme 2022. Les photos en disent plus que les mots.
Le retour se fait par la Chia puis nous bifurquons sur Passounette et la Forcla. Le train n’arrive que dans 45’, idéal pour se pauser sur la terrasse huppée du Valrose.
Temps de marche 5h20, dénivelé 905m, 11km. Pas mal du tout pour une course en raquettes.
Les participants: Karen, Yvonne, Mona, Christiane, Gisela, Olivier, Geneviève.
Merci à Mona qui a conduit la course tout en apprenant l’anglais, merci à tous pour tant de bonne humeur et d’énergie déployée.
Récit de Geneviève, photos d’Yvonne, Mona et Christiane







Sa 26 fév. 2022
ski de randonnée, tour du Teysachaux
Tour du Teysachaux, 25 février
Beau, froid ,bise, 1heure trop tôt… mais joli tour. Et sans bouchon pour le retour. Se sera le résumé de la journée.
C’est une rando à ski dans la région des Paccots. Environ 1100m+, avec 12 participants.
Une boucle qui se fera autour du bien connu Teysachaux. Même départ que pour le sommet, puis clignotant à gauche pour la buvette d’été « Incrottaz ».
Nous poursuivons alors le chemin en vue du chalet de Tremetaz sous une bise froide. Pause au chalet.
Avant la montée sur le col, nous nous équipons de gros gants et « buff » pour la traversée de la crête, en plein blizzard.
Nous enlevons les peaux, au sommet «Dessus», puis descente « des belles raies » sur l’autre versant, de près de700m dans une neige oû , dommage, il manquait 1 heure de décaillement. Arrivée sur le chalet des « Moilles » où a lieu le pic nic au soleil et enfin sans vent.
Après le pic nic et 2 (!!) bouteilles de blanc portée par Wolf et Greg, il est l’heure de remettre les peaux pour le chalet de « la Chaux » pour la deuxième montée d’environ 250m.
Un petit peu en dessus du chalet, à nouveau nous enlevons les peaux, et c‘est 500m de descente jusqu’au point de départ, la Pudze.
La boucle est faite.
Même avec un parking complet, ça aura été une journée sans voir personne et oû on a eu l’impression d’avoir été des explorateurs.
Boucle à garder secrètement….
Keller








Sa 19 fév. 2022
Dent de Morcles 2969m
Par une belle météo nous avons réussi à réunir deux demi-groupes sur la montée vers Fenestral. Passé le petit passage technique, nous n'avons rien qu'à suivre une magnifique trace jusqu'au sommet.
La Croix est presque complètement ensevelie et les nuages nous cachent la vue sur le lac.
La descente est magique: juste ce qu'il faut de poudse sur un fond bien glacé puisqu'il a plu assez haut ces derniers jours. Remontée sur T Si et nouvelle belle descente sur le lac. L'option de descendre sans reprendre le téski n'était pas là plus heureuse mais finalement comme les pistes étaient verglacées, ça n'aurait pas été bien meilleur choix.
Une magnifique journée avec une magnifique équipe !
Merci à tous
Ma 8 fév. 2022
Tour de raquette sur le Plateau de Pra Cornet
Balade en raquette : Les Mosses (depuis l’Arsat, 1392m) – Plateau de Pra Cornet (1670m)
Impossible de souhaiter une meilleure météo : ciel bleu azur, grand soleil et une jolie couche de neige fraiche. Une petite bise nous accueille lorsque nous sortons de nos voitures sur la place de parc de l’Arsat et s’estompe dès que nous nous mettons en route. Vers 09h45, dix personnes commencent la montée, par un sentier forestier en direction du Plateau de Pra Cornet. Une étendue plate, blanche et vierge avec en arrière-plan divers sommets des Alpes Vaudoises. Cathy, la onzième participante (retardée par la circulation en montant aux Mosses) nous rattrape dès la sortie de la forêt. La marche dans la neige fraiche est agréable et douce. En file indienne, nous poursuivons notre chemin, au-dessus de belles traces de fond, jusqu’au bout de ce plateau où nous bifurquons pour monter sur une petite colline. C’est la pause « pique-nique ». Chacun/e se trouve un petit coin, au milieu de quelques sapins ou au soleil, afin de se requinquer tout en profitant de la vue, sur ce magnifique paysage nordique, qui s’étale devant nos yeux. Puis c’est la descente pour une petite pause-café (oui/non avec dessert) sur la terrasse de la pittoresque buvette de Pra Cornet… Comme nous pouvions nous y attendre, nous n’étions pas les seules personnes ayant eu l’idée de « réserver » dans ce lieu, habituellement fort charmant, mais aujourd’hui plutôt bruyant… Plusieurs personnes ont donc préféré continuer la promenade vers des endroits plus tranquilles… Les autres se laissent tenter par un excellent café et quelques tranches de gâteaux, fait maison. De cette façon, chacun a fait selon son envie du moment et nous nous retrouvons ensemble pour la descente par la forêt. C’est à 14h30 que nous sommes de retour vers nos voitures. Tout le monde a la tête pleine d’images … retransmises dans une jolie vidéo que Olivier (merci !) nous a transmise le lendemain : https://youtu.be/ob4fl5B0cGA ! Une belle journée, certainement à refaire car la Plateau de Pra Cornet reste unique !
Participants : Geneviève Osinga, Jasmine Chapuis, Karen Armstrong, Gisela Hauschild, Olivier Trachsel, Cathy Berthoud, Mona Giobellina, François Mermoud, Yvonne Corbaz, Anne-Marie Bonzon, Agnes Wauters (chef de course).
Agnes (Merci à Jasmin pour son aide de dactylo !)
Di 23 jan. 2022
Le Van 1964m ou autre sommet FR
Sortie du 23 janvier 2022, Rothore de Lauenen 2275m
11 randonneuses et randonneurs se sont donnés rendez-vous à Lauenen bei Gstaad.
Nous sommes partis tôt de la Riviera pour être à 8h45 sur place. Certaines ont dormi dans leurs
camping-car pour profiter d’une heure de sommeil en plus, et d’autres d’un BdB avec Jacuzzi,
avec vue sur le sommet du jour.
-10°, un soleil resplendissant, une neige en suffisance et une équipe curieuse de découvrir cette
randonnée en boucle, méconnue par la plupart des randonneurs(ses). Aline s’est fait exploratrice le
samedi.
La montée se fait tout d’abord sur un chemin dans le fond du vallon, puis la pente se raidit un peu
jusqu’à l’alpage de Blatti. C’est l’heure de la pause au soleil, enfin, car ces deux premières heures se
sont faites « au revers ».
Nous allons quasiment faire 3 sommets ce jour : le Fürflüe, en dessus de l’alpage, puis une traversés
sur la crête jusqu’au Rothor de Lauenen et une descente qui passera par le Gubihubel. Avec cette belle journée, les premiers
parapentes décollent depuis notre sommet que nous avons en point de mire et admirons aussi le spectacle des ballons de Chateau d’oex qui s’offrent aussi un superbe vol.
Arrivée sur notre montagne du jour: super point de vue, et nous sommes un peu décontenancés, car
nous ne reconnaissons quasi aucun sommet ( sauf peut être l’Arpelistok et le Wildhorn...) .
C’est l’heure du gâteau d’anniversaire ( Cake au chocolat...), des bougies et un apéro pour Rachelina,
qui fête son anni.
Tout de suite dans le bain avec une pente raide, glacée, nous allons contourner notre 3ème sommet
pour attaquer nos 1100m de poudreuse.
Etonnamment, la suite de la descente se fait dans une bonne neige (qui a déjà 3 semaines...)
Les prés se succèdent dans de belles pentes jusqu à l’alpage de Gschwend.
Derniers virages pour rejoindre Fängli, hameau au bord de la piste de fond qui part de Lauenen Bei
Gstaad.
Après le km de skating avec skis de randonnée, jusqu’au point de départ, c’est l’heure du thé punch
sur la terrasse. Bon plan, les tables se libèrent. Mauvais plan, le soleil passe derrière la montagne.
Chacun a été enchanté de cette belle boucle.
Quelle belle randonnée tu nous a fait là, Aline... Eh voir les yeux, il y en a une qui va aller explorer
d’autres endroits de la région pour nous emmener à nouveau randonner dans ces lieux.
Le génie des alpages








Ma 18 jan. 2022
Préalpes en raquettes
Le Chasseron en raquettes 18 janvier 2022 ... qui est un sommet du Jura!
Dix membres de la section ont pris d’assaut la piste qui débute sur le parking des Cluds-commune de Bullet. La trace est faite, bien large, il n’y a qu’à mettre une raquette devant l’autre. En sortant de la forêt, la pause boisson bienvenue permet de nous rassembler. Puis vient la pente toute immaculée bien redressée devant nous. Le drapeau suisse près du restaurant sommital se rapproche... Le ciel bleu est traversé à grande vitesse par des nuages qui prennent peu à peu de l’importance. Un regard en arrière est encore possible sur la majestueuse alignée de sommets que constituent les Alpes.
Plus nous nous approchons du sommet à 1607m, plus la neige est rare, plus la bise souffle à détricoter nos bonnets. Plus personne ne dit rien, chacun est empaqueté dans sa veste + capuchon + 1 foulard. Il ne vient à l’idée de personne de sortir un téléphone juste pour prendre une photo. L’expérience de la fameuse bise sur les crêtes du Jura est ancrée en nous. Nous passons stoïques la crête des Illars puis descendons une combe abritée en suivant les piquets roses. Il est 12h15 lorsque nous nous arrêtons aux abords de la première ferme rencontrée. Le ciel est dégagé, le stratus forme une vaste mer blanche bordée sur toute sa longueur par les Alpes. Le spectacle est grandiose. Entre sandwiches et thé, de succulentes bouchées au chocolat puis des cubes de véritable cake anglais circulent généreusement.
La troupe réconfortée se remet en chemin par la voie directe toute tracée, laissant la Bullatonne-dessous (1318m) sur notre droite. Plus de bise , c’est le moment d’en rire, poussées par François clic-clac la photo est prise sans qu’aucune n’ait perdu pied! La bise n’est plus qu’un souvenir.
Au Café-restaurant du camping nous faisons “cercle” pour une tournée de boissons chaudes offerte par nos 3 formidables conductrices: Karen, Mona et Cathy que nous tenons à remercier chaleureusement. Pour François c’était une première avec les Mardistes. Nous nous réjouissons de sa participation au groupe en sympathique et fin connaisseur de la randonnée. Temps de marche 3h45, dénivelé +400m.
Ont goûté aux plaisirs de la bise: Mona, Yvonne, Karen, Christiane, Agnes, Cathy, Catherine, Anne-Claude, François et Geneviève
Les photos sont de Mona, Christiane et Geneviève





Di 16 jan. 2022
Le Grammont
La trilogie du Grammont… pas facile de programmer cette course et d’avoir les trois faces en conditions…
Ce ne sera pas pour le 16 janmai 2022, je dis bien janmai, car les condi relèvent plus d’un mois de mai que d’un mois de janvier… une semaine après la dernière neige, Eole et Jean Rosset ayant bien travaillé, les sommets sont bien pelés dira-t-on… Mais bon, on ne perd pas le moral et on improvise !
L’idée de base est maintenue, car les embouteillages du dimanche pour aller absolument en Valais, on laisse cela à ceux qui aiment.
C’est en compagnie de Benjamin, Benoît et Wolfgang que nous chaussons les skis au Flon pour monter à Taney, trou enneigé à hauteur de sa réputation. Par contre, vu qu’il ne manque presque que les vaches dans la face Sud du Grammont tellement elle est en mode printemps, on poursuit direction Col de Chaudin et sa belle combe Sud, qui devrait être revenue et bonne à skier.
Vu que l’allure et bonne, c’est à midi tapante que l’on arrive au Col, soit une heure plus tôt que prévu ; ça n’a pas encore détendu suffisamment, du coup p’tite pause pic-nic, mais pas longue, car ça souffle un peu tout de même. Du coup on attaque et c’est là un bon test pour la polyvalence ski de l’équipe en tout type de neige : dégueu, dure, revenue et poudre ! Un bon cocktail quoi ! Le retour au Flon se fait en poudre “double-crême de la Guyère” très agréable à skier, avec toutefois quelques requins piégeux !
Et voici encore une belle journée en montagne, avant de redescendre sous la peuf en plaine…
Merci aux participants pour ce beau dimanche !
Lorraine


Je 13 jan. 2022
Soirée Thématique « c’est le pied » par Clémence Viriot, podologue
Récit de la soirée thématique sur le pied du sportif
Le jeudi 13 janvier au soir a eu lieu une présentation fort intéressante sur la santé du pied du sportif par une podologue, Clémence Viriot, sportive elle-même.
Un podologue est un praticien du paramédical, il traite les affections épidermiques et unguéales du pied ainsi que ses troubles statique et dynamique.
Ses multiples champs d’action : sont les soins podologiques soit
• Le traitement des ongles et de la peau du pied. Par exemple les ongles incarnées, corne, cors, durillons, mycoses…
• Les Appareillages et Semelles orthopédiques : évaluation, fabrication et adaptation d’appareillage sur mesures…
• Le bilan clinique.
• Fabrication de semelles : semelles orthopédiques, orthoplastie et orthonyxie…
Comme nous vivons sur nos pieds, il convient de leur apporter une attention particulière.D’autant plus que 89% des skieurs ont mal aux pieds (O. Garcin)
Nous pouvons aussi prendre soin de nos pieds pour
• Prévention des blessures
• Augmenter notre performance
• Meilleure récupération
Quels sont les problèmes qui peuvent se présenter :
• Phlyctènes = Ampoules
• Hématome sous unguéal
• Ultra-Macération
Pour les éviter, connaissances de bases mais ma fois pas si évidentes que cela vu le nombre de plaintes :
• Bonne connaissance de son matériel (chaussure – chaussettes – semelles)
• Pas chaussettes double-peau
• Chaussures que l’on a déjà portées mais pas complétement usées
• Conditions environnementales et climatiques
• Préparation de la peau :
✓ Toute l’année : Hydratation : Crème hydratante / Beurre de karité
✓ 3 Semaines avant le jour J : Hydratation quotidienne (crème hydratante/beurre de karité.
✓ Quotidiennement : crème tannante, anti-frottement ou jus de citron vert.
✓ Consultation chez le podologue pour un soin podologique. 10 jours avant une longue épreuve
Et si l’ampoule est déjà là :
• Si l’ampoule n’est pas ouverte ? Seringue – Anti Septique – Sparadrap
• Si l’ampoule est ouverte à moins de 50% de sa surface ? La peau doit être remise en place – Anti Septique – Sparadrap
• Si l’ampoule est ouverte à plus de 50% de sa surface ? Bonne chance : Tulle gras – Anti Spetique – Sparadrap –Air libre ou Jus de citron (bon courage !)
Et si c’est trop tard et que vous avez une ampoule sous l’ongle :
• 48 heures pour percer la poche de sang, par un podologue (c’est mieux !) ou avec un trombone(que vous avez bien sûr pris avec vous !) ou une lame chauffée au rouge (ça c’est beaucoup plus facile à trouver mais un peu moins barbare peut-être ?)
• Pansement compressif
• Potentielle perte de l’ongle
Pour les macérations, reste le talc…et aérer ses pieds si possible…désolée pas de miracles !
Merci Clémence pour ton regard plein de bon sens et professionnel…on pensera à toi lors de notre prochain voyage
Nicole pour la commission des courses
Ma 11 jan. 2022
Le Grand tour de La Chia
Au départ du parking en contrebas du ski-lift de la Chia, le chemin est balisé pour Plan Francey et le Moleson. La pente est légère, la vue est magnifique sur Bulle, Broc. Nous cheminons en admirant de jolies fermes d’alpages nous passons derrière La Grosse Obecca puis nous prenons les traces des skieurs qui montent juste avant la Savarisaz. Après une heure de montée exigeante nous apercevons le toit du chalet-buvette des Amis de la Chia. Tout est givré y compris les toiles d’araignées sous le couvert où nous sommes entassés pour échapper à la bise le temps de boire un peu de thé. Nous reprenons courage pour le dernier bout de pré en pente et croisons l’unique skieuse. La forêt est à nous, absolument féérique. La neige y est épaisse, surmontée de givre pailletté. Le soleil perce ça et là entre les branches, le tout sur fond de le ciel indéfectiblement azur.
La pause a lieu en bordure de forêt, des bancs pliables secs apposés contre les sapins sont disponibles. Tout est parfait: plus de bise, soleil réchauffant et caressant, le Moléson majestueux nous fait face. Le moment est propice pour trinquer à la nouvelle année, féliciter Mona pour son anniversaire, avoir une pensée pour ceux qui sont tenus en quarantaine. Le vin chaud bien épicé, les petits gâteaux aux carottes et les fondants au chocolat nous réconfortent à souhait. Difficile de quitter ce merveilleux endroit, l’équipe est joyeuse, les sommets sont tous décriptés par Catherine!
Nous reprenons le chemin en forêt et descendons sur les Maulatreys. De-là, nous apercevons la ravissante Chapelle Notre Dame des Clés. C’est une chapelle d’alpage inaugurée en 1956 et construite à l’initiative du club Alpin de la Gruyère. Nous y faisons une courte pause. C’est reparti, cette fois le paysage est dégagé sur Bulle le Lac de Gruyère, la marche en raquettes dans cette neige légère est exceptionnellement agréable, les imposantes fermes offrent parfois un banc exposé aux derniers rayons du soleil comme à la Savarisaz. En silence nous rejoignons nos voitures puis faisons halte à Châtel St Denis pour une dernière tournée de boissons chaudes offerte par Mona.
Temps de marche 4h30 (y compris les pauses). Dénivelé +300m
Les heureux randonneurs du jour: Karen, Gisela, Yvonne, Mona, Cathy, Hartmut, Geneviève et Catherine Genton la guyérienne qui nous a rejoint pour le plus grand plaisir de tous.
Les photos sont de Gisela, Mona, Cathy et Geneviève








Di 12 déc. 2021
touring track, itinéraire balisé, ski de randonnée
TOURING TRACK du dimanche 12 décembre
Le presque maintenant traditionnel parcours balisé et première sortie à ski est lancé :
Karin, Régula, Joelle, Véro, Clair- Marie, Aline, Véro, Aldo, Ron, Simon, Machiel, ont répondu présents.
Après Villars et les Diablerets, cette année, c’est à Morgins que nous allons découvrir son Rando-parc.
Beaucoup de chance, 50 cm de neige fraiche sur un bon fond d’or blanc
Nous avons deux invitées : comparses de la FEVI avec le chef de course, c’est un rêve souvent souhaité mais jamais exhaussé : une randonnée à ski. Ce sera chose faite aujourd’hui. Une première leçon sur le parking pour apprendre les conversions et c’est un départ en 3 groupes qui va rejoindre le haut du télésiège de la Foilleuse.
Il faut admettre que ces parcours sont bien fait : jamais sur les pistes, pour ce tracé « bleu » une jolie trace large sans aucune difficulté majeure et dans un décor bucolique en forêt.
Des panneaux explicatifs de technique sur l’itinéraire : comment mettre les peaux, faire des conversions, l’ «allure », la faune qui pourrait être rencontrée et ses traces …
Arrivées échelonnées sur la terrasse du restaurant. Pur bonheur : ciel bleu sans un nuage, pas trop froid, et la promesse d’une super neige pour la descente, qui va se faire sur les pistes, ouvertes ce jour.
Re-scission des groupes, Aline et Véro décident de redescendre par la « directe » sous le télésiège et de remonter par la « rouge ».
D’autres vont au vrai sommet, 50 m en dessus du restaurant et se fond une petite descente hors piste avant de remonter au col.
Un premier groupe redescend pour rentrer avant les bouchons, le deuxième, avec nos deux néophytes Véro et Claire.Marie, Aline et Véro qui sont de retour, Simon, Régula et votre chef de course se font une descente de rêve jusqu’aux voitures.
Belle journée, et du plaisir pur pour tout le monde.


Ma 16 nov. 2021
Autour du Molard + soupe à la Planiaz
Autour du Molard et soupe à la Planiaz, mardi 16 novembre 2021
Ce matin le temps est au plus beau au-dessus de 1200. C’est en plein soleil que 12 clubistes partent depuis la Cerniaulaz direction la Forclaz et le Molard à 09h15. Finallement il est décidé de passer par la Goille au Cerf. Aussi connu pour nous tous, Christoph découvre ce montagne, qui nous tient si “à coeur”! Ballade sympathique, vue 100% claire! Le Mont Blanc, ainsi le plateau de Trient, la Dent de Lisse, le Moléson... se montrent dans toute leur splendeur. Le retour se fait par le Col de Soladier. Vers midi nous arrivons à la Planiaz où ce fourmille des bruits sympathiques. Karen et Jasmine nous acceuillent chaleureusement! Les deux drapeaux (Suisse et CAS) flottent, hélas, plus ou moins dans le brouillard qui est en train de monter. Un dizaine de clubistes venont nous rejoindre pour une virée bien joyeuse. (L’absence de neige a permis de monter en voiture qui a arrangé plusieurs personnes!). Au total nous nous trouvons à 21 personnes pour ce repas automnale. Nous savourons les soupes à la courge (préparées par la cheffe de course), accompagnement de nos pique-niques, suivi par un suculent buffet de desserts, amenés par diverses personnes enthousiastes. Après tant de temps notre chalet retrouve un ambiance de fête! Nous l’apprécions +++! C’est avec beaucoups de satifaction que chacun prend la route de retour au milieu de l’après-midi… dans une brouillar épaisse!!
Merci à tous les participants pour leur participation ! Un merci spéciale à Karen et Jasmine qui ont soigné l’entendence du chalet.
Participants : Zéno ( merci pour le bois coupé au chalet), Yvonne C., Karen, Jasmine, Nadine, Monique L. + amie Christiane, Karin, Geneviève, Hartmut, Cathy, Christiane, Hedwig et Pierre, Anne-Claude, Christoph, Mona, Victor, Béatrice, Gérard K., Daniel H., Agnes
Autour du Molard et soupe à la Planiaz, ...
Ma 9 nov. 2021
Tremetta-Le Moléson (2002m)
Le Tour du Barlattey 9 novembre 2021 (course de remplacement, Tremetta et Moléson étant enneigés)
Il fait beau et frais. A 10h, 11 Mardistes prennent le départ sur le parking du Lac des Joncs direction La Borbuinste. L’herbe est givrée elle scintille sous les rayons du soleil. Nous passons derrière la ferme de Grevalla-Dessus puis nous progressons à flanc de montagne le temps de reprendre notre souffle. Le chemin se redresse rapidement. Il est boueux et glissant finalement nous empruntons le pré bien pentu qui mène au sommet du Pralet. Vue à 360°, rayons du soleil caressants, que voulons-nous de plus ? Il est 11h15, rien ne presse, nous prenons quelques photos en énumérant les sommets. Notre cheminement continue sur une pente nord, la neige est déjà épaisse et gelée. Nous atteignons le point le plus haut, face à la Dent de Lys, le soleil nous ne quittera plus.
La pause repas est confortable à souhait sur les bancs de la ferme du Berry. Rien ne presse. Nous échangeons sur tout ce qui s’offre à voir ces temps-ci sur La Riviera côté culture. Nous restons-là, conscients de la beauté alentours. Nous laissons les soucis du moment à d’autres. Un rien pourrait-il les faire émerger ? Nous parvenons à rester vigilants. Ce qui nous rassemble est bien plus intéressant. Quelques carrés de chocolat bien choisis excitent nos papilles...
Notre descente contourne le Barlattey que nous laissons sur la droite. Arrivés sur la route des Guedères nous saluons et échangeons quelques mots avec un groupe multiculturel de jeunes missionnaires en train de pique-niquer. Nous sommes proches du beau paysage alpin aperçu d’en haut. Là se dressent Le Vanil des Artses, la Cape au Moine, Le Col de Soladier et Le Molard pile en face. La route est sèche nous arrivons aux voitures 30 minutes plus tard. C’est au resto « La randonnée » face à l’office du tourisme des Paccots que nous partageons un nouveau moment convivial. Nous y avons été fort bien accueillis.
Ont partagé les plaisirs de cette journée : Agnes, Hartmut, Christiane, Jasmine, Edith, Gisela, Edith, Yvonne, Christoph, Mona et Geneviève pour le récit.
Les photos sont de Christiane, Gisela et Mona








Ma 2 nov. 2021
Vacheresse-les Merlas (1907m)
La Tour de Gourze 2 novembre 2021 (course de remplacement, Les Merlas-Vacheresse étant recouverts de neige)
10h40 Port de Cully, le groupe de 8 randonneur-ses se met en chemin. Ciel et lac alternent entre bleu, blanc, gris clair et gris foncé. Le soleil vient les sublimer de sa divine brillance (voir les photos de Christiane et Mona). Nous marchons pensif-ves entourés de vignes dorées. Arrivés près d’une jolie tonnelle, reprenant notre souffle et un peu de liquide, nous prenons conscience des averses qui sévissent sur la rive française du lac. Rien ne presse mais nous sortons coupes-vent et parapluies.
Nous passons l’étage des vignes puis celui des vergers. Le vent se met à souffler, quelques gouttes font s’ouvrir les parapluies, un rouge, un vert, un violet, un jaune. Ils se font tantôt champignon tantôt tulipe tant le souffle est fort. Pas moyen de se faire aéro tracter, le vent souffle où il veut.
Le chemin se redresse. « OUVERT » dit le panneau … nous gravissons les derniers 100m dans l’espoir de nous mettre à l’abri du vent dans le restaurant de la Tour de Gourze. Serrés autour d’une table gravée « CAS Diablerets 1943 » nous échangeons chaleureusement en attendant chocolats chauds et thés.
Emmitouflés, nous attendons Karen qui se rend en pèlerinage sur la Tour et Yvonne qui en fait le tour. La descente est tout aussi raide que la montée, les feuilles soufflées à terre forment un tapis brun, doré, jaune. Attention ça glisse !
Il est 13h30 lorsque nos estomacs nous interpellent. La jolie tonnelle se prête une nouvelle fois à nos échanges savoureux. L’espace de ciel bleu grandit à vue d’œil. Le Port de Cully est proche. C’est là que nous nous séparons : 4 d’entre nous prennent le train pour Montreux, 4 prennent place dans la voiture qui fera halte à Vevey et Clarens. Nous avons partagé la beauté de cette journée, les échanges ont été chaleureux. Ont fait partie de cette cohorte : Hartmut, Christiane, Karen, Anne-Claude, Mona, Cathy, Yvonne. Avec plaisir je vous relate ici ce moment partagé.
Geneviève Osinga







Ma 12 oct. 2021
Route des diligences Finhaut les Marecottes
Bonjour à tous et à toutes,
Ce mardi 12 octobre, nous avons cheminé sur la route des diligences qui traverse des forêts essentiellement de mélèzes depuis Vernayaz jusqu’à Finhaut en passant par d’anciens petits villages de montagne accrochés à des pentes impressionnantes. Le beau temps était au rendez-vous et nous avons fait une pause bien agréable sur la grande terrasse ensoleillée du café des Alpes de Finhaut. La bonne humeur était au rendez-vous pendant ce moment apaisant et de partage d’environ 4h.
Geneviève, Gisela, moi-même et Cathy avons participé à cette course.
Ma 5 oct. 2021
Rossinière Montbovon
Tour de La Laitemaire Château-d’Oex
C’est dans le train que tous les participants ont pu se retrouver pour cette course sympathique. Ce sont Anne-Claude, Karen, Agnès, Silvia, Christiane, Françoise, Sylvie, Edith, Philippe et Olivier, soit 10 participants à destination du Pays d’En Haut.
La panne d’électricité sur la ligne du MOB nous a retardé, mais nous avons gagné ce temps en sortant du train à La Palaz, près de l’hôpital.
Une montée régulière nous a amené au Mont, passé par Pâquier Simond puis emprunté un sentier forestier très doux aux pieds mais parfois pentu jusqu’au pied de la Laitemaire. La dernière petite crête nous a fait découvrir un jardin de framboises, le paysage de Saanen, et Gstaad, puis depuis le sommet les Préalpes vaudoises.
Après le pique-nique, nous avons fait la descente par un petit sentier un peu glissant et acrobatique, puis très agréable jusqu’à la gare de Château d’Oex.
Un constat : bâtons obligatoires pour des pieds ou équilibres instables !


Ma 21 sept. 2021
Le Suchet en boucle depuis Baulmes
Données techniques : 13.5 km distance – 1’000 m montée – 1’000 m descente – 4H30
La journée commence par un challenge entre les Mardistes qui prennent le train (Gisela, Christiane, Edith, Karen et Olivier) et ceux qui prennent la voiture (Cathy et Gérard). Après un finish d’enfer, les premiers arrivent en tête à Baulmes grâce à un bouchon sur la route ! Après le petit café du matin pour ces Dames, l’équipe recomposée démarre la longue montée à 9H30 en direction de la crête que nous suivrons sur quelques kilomètres jusqu’au sommet du Suchet. Les portions raides succèdent aux portions raides; peu de répit. La nature est somptueuse et sauvage. La lumière crée des impressions féériques avec le brouillard qui joue les divas. Toute cette beauté magique atténue les souffrances. Après 1H45 nous sortons de la forêt et terminons la montée sur la crête dans les pâturages et les morceaux de calcaire pour atteindre à midi pile le sommet du Suchet. La température au sommet nous donne une indication de type hivernal … brrrr ! Le pique nique se fera un peu sous le sommet à l’abri.
La descente sur Six Fontaines est rapidement négociée ainsi que le bout de route qui nous ramène à Baulmes. Timing d’enfer pour les pros du train, en effet ce dernier arrive 10’ après que nous ayons rejoint la gare. Nous partîmes 7 et nous retournâmes 7 ! Pas de pertes à déplorer. Une belle bonne humeur tout au long de la journée. Les volontaires du jour auront apprécié cette immersion dans une nature préservée et nullement fréquentée.
Merci à toutes et tous. Olivier Trachsel (le chef de course du jour)



Ma 14 sept. 2021
Randonnée « La Dent de Jaman depuis Les Cases »
À 9:20 h huit filles ( Agnès, Anne-Marie, Geneviève, Joëlle, Karen, Karin, Yvonne et moi) sont descendues du train 7MOB aux Cases pour monter à la Dent de Jaman.
Le soleil brillait, mais il ne faisait pas encore très chaud et, d’abord dans la forêt, après à travers des pâturages, nous sommes vite arrivées au Col de Jaman. Entre-temps la température avait augmenté et nous étions contentes de pouvoir continuer notre montée à l’ombre des arbres.
Le sentier devenait de plus en plus raide, de temps en temps un peu vertigineux, et il fallait avoir le pied sûr et plusieurs fois utiliser les mains pour continuer la montée. Heureusement les passages délicats étaient bien assurés par des chaînes.
Comme la dernière partie de l'ascension était complètement exposée au soleil, nous n'étions pas fâchées que le ciel s'était couvert d’une faible couche de nuages. La pente très raide était noyautée par des rochers, mais la grimpe, des fois sur les quatre pattes, faisait plaisir.
Après deux heures et demie de marche nous sommes arrivées au sommet.
Même si le ciel était couvert, on jouissait d'une assez bonne vue, jusqu'au Oberland Bernois.
Pour être à l’abri du vent, nous sommes descendues jusqu'à la Buvette de Jaman, ou on trouvait des bancs et des tables pour pique-niquer.
Nous sommes tombées d'accord de ne pas descendre à Haut de Caux, comme il était prévu, mais aux Avants, parce que la plupart des participantes avaient garé les voitures là.
On a trouvé un joli sentier très varié, et la descente faisait plaisir à tout le monde.
A 15:00 h nous sommes arrivées aux Avants et nous étions très contentes d'avoir fait cette course un peu aventureuse, qui n'était pas encore connue par plusieures participantes.
À 9:20 h huit filles ( Agnès, Ann ...
Ma 7 sept. 2021
Le Tour des Gastlosen
En route depuis 8h en ce matin de septembre éblouissant de clarté, nous arrivons à 9h15 au bout de la route empruntée à Kappelboden peu après le village de Jaun. Nous sommes au point 1429. Hartmut est notre guide, il est familier de cette impressionnante chaîne calcaire des Préalpes fribourgeoises qui surgit là sur 15km. Nous nous engageons sur la route qui mène au chalet Grat à 1641m. Peu après l’arrivée du télésiège venant de Jaun qui déverse de nombreux écoliers et autres randonneurs sur le parcours, le chemin perd de l’altitude. Il est encombré de gros cailloux et blocs glissants puis se redresse sérieusement. Plus un mot ne s’élève de notre colonne ! Nous arrivons sur le versant ensoleillé. Nous avons atteint le beau chalet Grat. De là notre cheminement est bien visible, il traverse prairies et forêt. La perspective d’un peu de descente dans ce magnifique paysage dégagé est bienvenue. Nous sommes les seuls randonneurs à emprunter le tour dans le sens des aiguilles d’une montre.
Après une heure de marche agréable sous les impressionnants rochers de calcaire solide fréquentés par les grimpeurs du monde entier nous atteignons progressivement la côte 1800m puis les lacets qui nous amènent au point culminant de notre randonnée 1915m. C’est le point passage sur l’autre versant. Aguillés sur les rochers, nous sortons nos pique-niques. Nous avons croisé un nombre impressionnant de randonneurs qui faisaient le tour en sens inverse. De mémoire de mardiste nous ne nous étions jamais sentis autant entourés sur un parcours.
Le moment est venu de se concentrer pour descendre à flanc un sentier abrupt fait de rochers et éboulis, la concentration est au maximum. Si certaines parlent pour se rassurer m’at-on dit, les autres se retiennent. Au terme de cette dégringolade contrôlée, apparaît le Chalet du Soldat et sa terrasse panoramique où il fait bon avoir les pieds sur la terre ferme, puis les fesses sur le plat des bancs.
Réhydratés et heureux d’avoir emprunté ce tour mythique, nous prenons la route carrossable qui nous ramène aux voitures, après 12km, 750m de dénivelé et 5h30 au grand air.
Les participants : Yvonne Corbaz, Karen Armstrong, Christiane Gavillet, Agnes Wauters, Pierre Pradervand, Gérard Kraehenbuhl et Hartmut Siefert que nous remercions pour sa présence rassurante. Geneviève Osinga








Ma 31 août 2021
Joux Verte / Les Agites
Randonnée des Mardistes à la Joux Verte 31.08.2021
Il est 8h45 lorsque nous quittons le parking derrière l’église de Roche où nous nous sommes retrouvés Gisela, Agnès, Cathy, Gérard, Olivier et moi-même.
Le sentier menant à la Joux Verte depuis Roche est costaud, nous partons pour plus de 700m de montée … La forêt est dense avec quelques fenêtres sur une barrière rocheuse, de plus d’un kilomètre de haut: spectaculaire!
Pas besoin de chercher très loin l’origine du nom de la ville, les marbres de Roche s’exportaient dans toute la Suisse et même à l’étranger. Et dès 1896, c’est le calcaire qui fut exploité pour la fabrication de ciment, servant notamment à l’édification des barrages du Valais.
Ensuite le chemin s’apaise et nous en profitons pour nous désaltérer…. ravis!
Nous suivons le tracé du sentier “découverte de la Joux-Verte”, ne s’écartant pas de l’axe de l’Eau-Froide et empruntant des passerelles de bois…. dont l’une vient de céder!
De jeunes forestiers travaillent à remonter la passerelle, ils viennent d’ailleurs de poser un gros tronc… pas question de marcher dessus! Un d’entre eux nous explique où passer alors Gérard de répondre “pas de problème pour la traversée, nous faisons partie du Club Alpin!!!!!”… Sitôt dit sitôt fait!
Nous avons de la chance que la rivière ne soit pas torrentielle et pouvons la traverser sans problème sautant d’un cailloux à une autre sans se mouiller les pieds… puis, nous nous accrochons aux branches pour remonter de l’autre côté sur un sol qui est resté humide!
Un beau contraste qui en recouvre un autre, celui de l’exploitation de la pierre, côté aval, et de celle du bois, en amont. Le grand intérêt de cette belle balade peu fréquentée (nous n’avons rencontré PERSONNE sinon les forestiers) est d’en offrir de multiples traces historiques, comme le barrage-écluse du XVIe siècle ou l’ancien système de transport de bois par câble.
Nous continuons notre marche, les sentiers sont, une fois encore, humides, pour arriver à l’alpage de la Veillarde et celui du Grand-Chalet. La vue sur le Léman et la plaine du Rhône est magnifique et nous profiterons de ce bel endroit pour notre pique-nique bien mérité.
La descente… encore 2h heures, tout de même, se fera dans la tranquillité et sous une douce température puis le verre de l’amitié, lui aussi bien mérité après cette belle journée “sportive” :
14km, 1200m de dénivelé et 5h1/2 de marche (sans les pauses).
Christiane
Ma 10 août 2021
Le Pic Chaussy depuis les Mosses (en boucle)
LE PIC CHAUSSY EN BOUCLE
MARDISTES, 10 AOÛT 2021
Il est 8 heures, Paris s’éveille, oups pardon, Lidl à Villeneuve s’éveille ! Sept Mardistes se retrouvent prêts à en découdre avec la montagne. Le soleil est présent (chance inouïe en cet été pourri) et Christiane n’a pas de chaussettes (merci Edith de l’avoir sauvée).
Nous retrouvons quatre autres Mardistes au col des Mosses. Louis nous quitte et nous retrouvera à notre retour. La petite troupe se met en marche afin d’affronter les 960 m de montée. Très vite, la colonne s’étend, chacune et chacun à sa propre cadence. Une première pause à la buvette des Petits Lacs est la bienvenue. Puis la montée assez rude se poursuit dans une ambiance quasi Tibétaine (un petit troupeau de yacks pâture paisiblement). Arrivés au col avant la montée finale, on reprend son souffle pour la dernière partie de l’ascension. Les arrivées au sommet sont échelonnées, mais tout le groupe sera réuni pour la photo traditionnelle.
La vue est à 360°, l’ambiance est « caliente » malgré une petite brise un peu fraîche. Le picnic se fera 400 m plus bas, au milieu d’un grand troupeau de moutons. Joli spectacle animalier qui nous divertit. Fin de la descente jusqu’au lac Lioson qui miroite dans son écrin de verdure. Enfin, retour sur le col des Mosses pour le verre de l’amitié bien mérité (re-merci Edith).
Au final on peut dire ceci :
Ambiance 5/5 – météo 5/5 - montée puis descente 960 m – 11 km distance - niveau T2
Participantes et participants :
Christiane, Christoph, Edith, Monica, Gisela, Karen, Ariane, Anne-Marie, Louis, Karin et Olivier (chef de course du jour).




Ma 3 août 2021
Saanenmöser -Horeneggli - Hornberg – Rinderberg (+800m -70m)
Rapport de la course des « Mardistes » du mardi 3 août 2021.
Saanenmöser – Hornberg – Zweisimmen
Nous nous retrouvons à la gare de Saanenmöser, à 8h45, pour parcourir l’itinéraire de moyenne montagne prévu ce jour.
Après un moment de convivialité, pour prendre un café, nous abordons le sentier qui nous conduit en direction du Horneggli. Montée agréable et variée avec une première pente soutenue. La vue porte de Gstaad en direction de Château d’Oex. Vers 10h30 nous rejoignons Jean-Louis et Marianne qui se sont épargnés les premiers 400 m de dénivelé en montant en télésiège depuis Schönried.
La rando se poursuit en direction du Hornberg en traversant le jardin botanique qui borde le chemin et en découvrant les massifs et sommets qui accompagnerons nos regards tout au long de la journée, des Gastlosen jusqu’au massif du Wildstrubel. En atteignant le morceau de résistance de la journée, la Gandlouenegrat, magnifique crête qui domine la vallée de la Simme, 1000m de dénivelé plus bas, le vent à forci.
Cela donne plus de relief et d’ambiance pour parcourir le beau chemin qui mène au Rinderberg.
A midi pile, un bref pic-nic avec une température fraîche, mais dans une ambiance joyeuse, ponctue ce bel itinéraire.
Il reste à redescendre vers Zweisimmen. Ce sera à pied pour les plus déterminés ou en télécabine pour les clubistes soucieux de préservés leurs articulations.
Belle journée de partage et d’amitié… « aussi vite que possible, mais aussi lentement que nécessaire » au vu des différences d’âge, d’entrainement, ou encore en raison de circonstances personnelles ou de santé, propres au Mardistes. Au final un groupe compact ou chacune et chacun a pu apprécier les belles Préalpes bernoises, proches des cantons de Vaud et du Valais.
Bravo à Karen, Gisela, Silvia, Christiane, Anne-Claude, Geneviève, Jasmine, Philippe et aux invités
Monique, Bernadette (CAS Diablerets), Marianne, et Jean-Louis (CAS Diablerets).
Chef de course : Lucien Rentznik
Rapport de la course des « M ...
Ma 27 juil. 2021
le Grammont / baignade au Lac de Tanay
Mardi, le 27 juillet 2021: Montée au Grammont (2171 m.) par Tanay (1408 m.) depuis Le Flon (1032m.).
Quelle chance ce mardi, lors de cet été si royalement arrosé, le beau temps est annoncé ! A priori pour la première partie de la journée seulement … mais finalement, le soleil nous honore de sa présence jusque tard dans la soirée !Cette randonnée est bien « une classique » … Tout le monde connait le Grammont qui nous « nargue » quasiment tous les jours, depuis les hauteurs en face de nous… A part Gion, tous y sont déjà montés… mais, semble-t-il pour beaucoup, « il y a fort longtemps » … ! Nous partons plein d’entrain et de courage depuis le Flon, à 08h pour la première partie raide, via le sentier du chevrier, vers Tanay. Petite pause « sanitaire » (vive les dames !), un coup d’œil sur ce magnifique lac et notre chemin se poursuit par une sorte de route forestière amenant aux alpages au pied du Grammont. Le paysage est splendide, une marée de fleurs nous offre une mosaïque de couleurs et d’odeurs. Encouragé par la cheffe, au départ de la course, chacun(e) monte selon son rythme et « son pas » … se sentant ainsi à l’aise tout en se faisant « simplement » plaisir … ! De ce fait, le groupe se divise rapidement en différents sous-groupes. L’effet « élastique » s’installe…. Les arrivées au sommet se font en temps intercalés, et pour les plus rapides, 30’ avant le temps annoncé sur les panneaux (2h. depuis Tanay !). Bravo à tout le monde ! Bien que le Mont Blanc reste caché dans les nuages, la vue répond à nos attentes. A divers endroits, nous admirons des animaux qui broutent paisiblement au long des pentes. Le vent au sommet chasse les quelques nuages, reflétant le ciel bleu, de plus en plus vif, dans le lac qui s’étend à nos pieds. Cependant, la fraicheur nous fait descendre pour notre pause pique-nique vers la ferme d’alpage en bas de la crête montant au sommet. Jasmine a eu le plaisir de rencontrer « ses copains » bouquetins en toute proximité ! Et, c’est l’heure de la descente, par le même chemin, vers la terrasse de l’auberge (du même nom que notre sommet) à Tanay pour un pot. Hélas, les caprices de la météo de cet été ont fait renoncer, même les plus adeptes de la baignade, à piquer une tête dans ce lac de rêve… Ma foi, une raison de plus pour y remonter ! C’est par la route ou, rebelotte, par le petit sentier caillouteux, que nous nous retrouvons plein de satisfaction (certaines et certains, avec des genoux ou des cuisses fatigués) de retour à nos voitures vers 15h ! Merci à tous pour votre participation enthousiaste. C’était un réel plaisir de faire cette course avec vous !
Participants : Yvonne Corbaz, Olivier Trachsel, Olivier et Anne-Marie Martin, Mona et son fils Gion Giobellina, Karen Armstrong, Jasmine Chapuis, Gisela Hauschild, Geneviève Osinga, Christophe Keller, Christiane Gavillet, Agnes Wauters.



Ma 6 juil. 2021
Les Alpettes / Le Niremont
Randonnée des mardistes au Niremont le 05.07.2021
Nous quittons le parking des Chevalleyres pour un deuxième rendez-vous à Semsales en-haut du chemin du Devin à 4 voitures et 14 participants.
Chaussés nous voilà gaiement partis en direction des Alpettes. Le ciel est nettement plus foncé que notre humeur… la météo a l’air de nous jouer un mauvais tour! Très vite des gouttes commencent à nous arroser. Heureusement, tous sommes prévoyants et munis contre la pluie qui s’intensifie…. Plus loin, le sol est très spongieux gorgé d’eau si bien qu’après une heure de marche, les premiers s’arrêtent afin de faire le point… est-ce la peine de continuer ou rebroussons-nous chemin?
Comme une partie du chemin parcouru était caillouteux et glissant je propose que l’on continue de monter pour retrouver la route jusqu’à la bifurcation des Alpettes/Le Niremont et que l’on coupe en suivant la route pour redescendre sur un sentier confortable recouvert de copeaux.
Nous sommes mouillés et nous arrêtons sous un avant-toit pour boire une gorgée … la pluie qui ne cesse de tomber ne nous désaltère pas!!!!! mais n’altère en aucun cas la bonne humeur de chacun.
En redescendant, certaines s’arrêteront à la Chapelle de Notre Dame du Niremont…. leurs prières auront été immédiatement exaucées… le ciel se découvre! Hourra!
Plus loin, nous nous divertissons en découvrant 12 statuettes dans la verdure : 12 gardiens de Akash, :
“ le son, l’amour, la sérénité (disparu), la lumière, l’air, la vie, l’eau, l’esprit, les gardiens de l’ensemble (un couple), la joie, la connaissance” (… pas certaine qu’on les ait tous vus!)
inspirées des Jizo japonais véhiculant des valeurs universelles.
Presque arrivés à nos voitures, nous nous arrêtons au “canapé forestier” (photo) pour un pique- nique très sympa sous une brève accalmie avant que la pluie reprenne ses averses…..
Aujourd’hui, le Niremont porte bien son nom: “noir mont ou montagne noire”, évidemment nous ne verrons ni le Moléson, ni le Lac Léman ni même le massif du Jura c’est pourquoi nous décidons d’y revenir … l’an prochain?
Merci à vous: Anne-Claude, Christophe, Eugène, Françoise, Geneviève, Gisela, Jasmine, Joëlle, Karen, Mona, Olivier, Yvette, Yvonne de votre participation et de votre bonne humeur!
Christiane